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Une équipe internationale de recherche a déterminé que les mammifères terrestres ont atteint leur masse maximum en vingt millions d’années, une évolution qui a vu un animal de la taille d’un chat atteindre celle d’un éléphant, selon des travaux publiés lundi.
Pour les mammifères marins comme les baleines, il a fallu deux fois moins de temps pour parvenir à la taille maximale, ont également indiqué ces chercheurs dont Jessica Theodor, de l’Université de Calgary au Canada, qui explique que ces animaux aquatiques ont notamment accès à une nourriture plus riche que sur le sol où l’herbe et les végétaux sont les principales sources d’alimentation.
En outre, le fait d’évoluer dans l’eau ne nécessite pas autant de structures osseuses et musculaires pour supporter le poids du corps comme c’est le cas pour les grands mammifères vivant sur la terre ferme.
“Notre recherche révèle pour la première fois l’histoire à grande échelle des mammifères en terme de rythme de croissance”, poursuit cette scientifique, qui est l’un des principaux auteurs de l’étude parue dans les Annales de l’Académie nationale américaine des sciences (PNAS) datées du 30 janvier au 3 février.
“Cette approche diffère de la plupart des recherches sur l’évolution des mammifères qui se concentrent surtout sur la micro-évolution ou les changements qui se produisent dans des espèces animales spécifiques”, souligne cette professeur adjointe de biologie à l’Université de Calgary.
Les mammifères ont commencé à grossir rapidement après l’extinction des dinosaures il y a 65 millions d’années, accélérant alors leur développement pour atteindre leur taille maximale dans les vingt millions d’années qui ont suivi.
Cette recherche s’est penchée sur 28 différents types de mammifères présents au cours des 70 derniers millions d’années en Afrique, Eurasie, Amérique du Nord et du Sud, ainsi que dans tous les bassins océaniques.
Pour les mammifères marins comme les baleines, il a fallu deux fois moins de temps pour parvenir à la taille maximale, ont également indiqué ces chercheurs dont Jessica Theodor, de l’Université de Calgary au Canada, qui explique que ces animaux aquatiques ont notamment accès à une nourriture plus riche que sur le sol où l’herbe et les végétaux sont les principales sources d’alimentation.
En outre, le fait d’évoluer dans l’eau ne nécessite pas autant de structures osseuses et musculaires pour supporter le poids du corps comme c’est le cas pour les grands mammifères vivant sur la terre ferme.
“Notre recherche révèle pour la première fois l’histoire à grande échelle des mammifères en terme de rythme de croissance”, poursuit cette scientifique, qui est l’un des principaux auteurs de l’étude parue dans les Annales de l’Académie nationale américaine des sciences (PNAS) datées du 30 janvier au 3 février.
“Cette approche diffère de la plupart des recherches sur l’évolution des mammifères qui se concentrent surtout sur la micro-évolution ou les changements qui se produisent dans des espèces animales spécifiques”, souligne cette professeur adjointe de biologie à l’Université de Calgary.
Les mammifères ont commencé à grossir rapidement après l’extinction des dinosaures il y a 65 millions d’années, accélérant alors leur développement pour atteindre leur taille maximale dans les vingt millions d’années qui ont suivi.
Cette recherche s’est penchée sur 28 différents types de mammifères présents au cours des 70 derniers millions d’années en Afrique, Eurasie, Amérique du Nord et du Sud, ainsi que dans tous les bassins océaniques.