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Difficile de le dire: Benzema a été sorti à la 69e minute. Pour le ménager? Benzema a en tout cas marqué des points, lui qui n'a inscrit que deux pauvres buts en Liga cette saison. Et l'ancien joueur de Lyon est sur une bonne dynamique: passe décisive en Liga le 16 janvier, but en Liga ce dimanche et but en Coupe du roi ce mercredi. Outre son potentiel intact, Benzema a aussi montré qu'il avait un mental solide, ce dont a pu douter par moments Mourinho, qui ne l'a jamais épargné, l'exhortant dès le début de saison à se "réveiller" à l'entraînement ou encore à "faire plus" en match. Car le contexte, externe ou interne, n'était pas simple à gérer. En interne, outre la concurrence d'Adebayor, Benzema est au centre d'une guerre des nerfs entre Jorge Valdano, directeur sportif madrilène -opposé à un renfort au mercato- et Mourinho, qui ne voulait pas se contenter de "Benzemax". En externe, le climat était bouillant à Séville. Le public avait été chauffé à blanc depuis une semaine par une vidéo agressive sur le site du FC Séville. On y voyait les joueurs de Séville, torses nus, se peindre le corps aux couleurs du club façon "guerriers sioux" en criant. Iker Casillas, gardien du Real, a même reçu un projectile sur la tête -sans gravité- en fin de match.