Emotive, bon enfant, familiale et superbement organisée, la cérémonie d’ouverture de la 8ème édition des Jeux nationaux des Special Olympics Morocco en faveur des athlètes en situation de handicap mental a été une réussite. Placés sous le thème «Sport, solidarité, intégration», ces Jeux, devront se poursuivre jusqu’au 29 septembre à Ifrane.1000 athlètes, 350 accompagnateurs, 84 juges et arbitres, 40 personnes composant le corps médical et 150 volontaires feront, quatre jour durant, de la ville d’Ifrane la capitale du Spécial Olympics Morocco créé par Feue la Princesse Lalla Amina. Comme chaque année, l’émotion était vive parmi les athlètes, les familles et le public.La cérémonie a débuté par le défilé des délégations venues de tout le Royaume. Athlètes et encadrants, ainsi que 60 associations et institutions médico-pédagogiques ont ainsi défilé, portés par une ambiance particulièrement festive et conviviale. Le public a eu droit également à une représentation d’un tableau artistique, composé de danses chorégraphiques et de groupes folkloriques.
Si la bonne organisation et la mobilisation des autorités, des parents et des volontaires a contribué à la réussite de la cérémonie d’ouverture, la télévision publique s’est distinguée par son absence au niveau de la retransmission en direct de cette fête du handisport qui a débuté sur les chapeaux de roues. Aucune de nos chaînes nationales ne s’est déplacée pour couvrir cet événement sportif d’une grande importance puisqu’il a des incidences sociales et psychiques sur les participants et leurs parents. En outre, il s’agit d’un sport qui a honoré le Maroc à plusieurs reprises à l’échelle internationale. La télévision publique devait donc faire « l’effort » de retransmettre en direct cette manifestation. Au moment de la cérémonie d’ouverture, Arriadia qui est la chaîne thématique en question, passait une rediffusion du meeting d’athlétisme de Bruxelles que les téléspectateurs intéressés avaient déjà suivi en direct. Et le comble c’est que ladite rediffusion était interrompue pour faire passer une pub-annonce concernant les Spécial Olympics d’Ifrane ! Les autres chaînes publiques rediffusaient elles aussi des émissions culinaires ou des feuilletons indiens… Encore un fâcheux couac de la télé nationale censée être un service public. On espère que la SNRT se rachètera en couvrant les épreuves sportives de ces Jeux nationaux des Special Olympics Morocco en faveur des athlètes en situation de handicap mental. Dans ce cadre, il faut saluer la présence de la presse écrite pour couvrir l’événement.
Si la bonne organisation et la mobilisation des autorités, des parents et des volontaires a contribué à la réussite de la cérémonie d’ouverture, la télévision publique s’est distinguée par son absence au niveau de la retransmission en direct de cette fête du handisport qui a débuté sur les chapeaux de roues. Aucune de nos chaînes nationales ne s’est déplacée pour couvrir cet événement sportif d’une grande importance puisqu’il a des incidences sociales et psychiques sur les participants et leurs parents. En outre, il s’agit d’un sport qui a honoré le Maroc à plusieurs reprises à l’échelle internationale. La télévision publique devait donc faire « l’effort » de retransmettre en direct cette manifestation. Au moment de la cérémonie d’ouverture, Arriadia qui est la chaîne thématique en question, passait une rediffusion du meeting d’athlétisme de Bruxelles que les téléspectateurs intéressés avaient déjà suivi en direct. Et le comble c’est que ladite rediffusion était interrompue pour faire passer une pub-annonce concernant les Spécial Olympics d’Ifrane ! Les autres chaînes publiques rediffusaient elles aussi des émissions culinaires ou des feuilletons indiens… Encore un fâcheux couac de la télé nationale censée être un service public. On espère que la SNRT se rachètera en couvrant les épreuves sportives de ces Jeux nationaux des Special Olympics Morocco en faveur des athlètes en situation de handicap mental. Dans ce cadre, il faut saluer la présence de la presse écrite pour couvrir l’événement.
CHAN. Tarik Sektioui : L’engagement physique et tactique des joueurs était décisif
