Autres articles
-
Aux Pays-Bas, soigner le moral des adolescentes pour sauver leurs genoux
-
Jamais le monde n'a connu plus de conflits depuis 1946
-
Waymo mène la conquête des taxis autonomes aux Etats-Unis
-
Au Brésil, 79% des entreprises exposées aux cyberattaques
-
Plus d'enfants morts à cause de lois plus permissives sur les armes aux Etats-Unis
En 2007, des chercheurs avaient établi un taux d’efficacité de la contraception masculine entre 97% et 100%, soit une efficacité égale à celle de la contraception féminine. Contrôler la fertilité des hommes consistait alors à leur administrer des hormones androgènes comme la testostérone.
Alors pourquoi cette contraception tarde tant à voir le jour ?
Tout d’abord, on ne peut pas nier le fait qu’il est plus facile de contrôler la fertilité des femmes que celles des hommes. Chez la femme, cela consiste à bloquer un pic mensuel, alors que chez l’homme il faut stopper la production constante des spermatozoïdes, et ce tout au long de la vie.
De plus, la testostérone, pour être efficace, doit être administrée à l’homme par injection intramusculaire, car avalée sous forme de comprimé, elle serait détruite par le foie. Mais tout espoir n’est pas perdu, d’autres pistes sont aujourd’hui en étude, par exemple: une action au niveau des hormones produites par le cerveau et non plus par les testicules ou encore le développement d’anticorps anti-spermatozoïdes.
Alors pourquoi cette contraception tarde tant à voir le jour ?
Tout d’abord, on ne peut pas nier le fait qu’il est plus facile de contrôler la fertilité des femmes que celles des hommes. Chez la femme, cela consiste à bloquer un pic mensuel, alors que chez l’homme il faut stopper la production constante des spermatozoïdes, et ce tout au long de la vie.
De plus, la testostérone, pour être efficace, doit être administrée à l’homme par injection intramusculaire, car avalée sous forme de comprimé, elle serait détruite par le foie. Mais tout espoir n’est pas perdu, d’autres pistes sont aujourd’hui en étude, par exemple: une action au niveau des hormones produites par le cerveau et non plus par les testicules ou encore le développement d’anticorps anti-spermatozoïdes.