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Des chercheurs français ont affirmé, dans une étude, avoir obtenu des preuves que l'atmosphère de Mars est électriquement active, une première dans l’exploration de la planète Mars.
Il s’agit de la première documentation du genre d’une activité électrique dans l’atmosphère martienne, a expliqué le principal auteur de l’étude Baptiste Chide, de l’Institut de recherche en astrophysique et planétologie (IRAP), publiée dans la revue Nature.
De l'avis de M. Chide, "c'est une découverte majeure avec des implications directes pour le climat et l’habitabilité de Mars, ainsi que pour l’avenir de l’exploration robotique et humaine".
La découverte a pu avoir lieu grâce au rover Perseverance de la NASA, une astromobile de la mission spatiale menée par les Etats-Unis avec la participation de la France. La planète rouge rejoint ainsi la Terre, Saturne et Jupiter parmi les planètes connues pour présenter une activité électrique atmosphérique.
Au total, ce sont 28 heures d’enregistrements de microphones effectués par le rover sur une période de deux années martiennes qui ont permis de détecter 55 décharges électriques.
Ces mini-éclairs sont associés à des tourbillons de poussière qui se promènent régulièrement à la surface de la planète rouge, "un phénomène causé par la friction de minuscules grains de poussière qui se frottent les uns contre les autres dans l’air", révèle l'étude.
Selon les chercheurs, de telles décharges électrostatiques pourraient présenter un risque pour les équipements électroniques des missions robotiques actuelles, voire un danger pour les astronautes qui exploreront un jour la planète rouge.
Il s’agit de la première documentation du genre d’une activité électrique dans l’atmosphère martienne, a expliqué le principal auteur de l’étude Baptiste Chide, de l’Institut de recherche en astrophysique et planétologie (IRAP), publiée dans la revue Nature.
De l'avis de M. Chide, "c'est une découverte majeure avec des implications directes pour le climat et l’habitabilité de Mars, ainsi que pour l’avenir de l’exploration robotique et humaine".
La découverte a pu avoir lieu grâce au rover Perseverance de la NASA, une astromobile de la mission spatiale menée par les Etats-Unis avec la participation de la France. La planète rouge rejoint ainsi la Terre, Saturne et Jupiter parmi les planètes connues pour présenter une activité électrique atmosphérique.
Au total, ce sont 28 heures d’enregistrements de microphones effectués par le rover sur une période de deux années martiennes qui ont permis de détecter 55 décharges électriques.
Ces mini-éclairs sont associés à des tourbillons de poussière qui se promènent régulièrement à la surface de la planète rouge, "un phénomène causé par la friction de minuscules grains de poussière qui se frottent les uns contre les autres dans l’air", révèle l'étude.
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