
Le 31ème Congrès national de la Société royale marocaine de gynécologie obstétrique (SRMGO) a ouvert ses travaux vendredi à Casablanca, en présence d'éminentes personnalités médicales marocaines et étrangères.
Cette manifestation scientifique de deux jours vise à apporter une analyse critique et exhaustive des développements les plus récents et innovants en gynécologie obstétrique, a souligné le président de la SRMGO, Houssine Maaouni.
Des praticiens de pays frères et amis qui sont chaque année de plus en plus nombreux prennent également part aux travaux scientifiques, pour échanger leurs expériences réciproques, l'objectif étant de promouvoir la recherche et la pratique médicale.
Les participants venant de France, Belgique, Italie, Espagne, Suisse, Pologne et du Maghreb vont traiter des sujets en rapport avec les difficultés liées à la couverture des frais médicaux ou encore "l'absence de consensus thérapeutiques nationaux permettant aux malades de bénéficier de tous les traitements recommandés, a-t-il souligné.
L'humanisation des soins, a-t-il poursuivi, constitue un des constituants de la mutation profonde que connaissent les hôpitaux ces dernières années et ce grâce aux efforts consentis des instances concernées, soulignant que les établissements hospitaliers doivent être un lieu d'enseignement et de recherches scientifiques, mais aussi, et surtout, une référence en matière d'offre de prestations sanitaires de qualité.
Cette manifestation scientifique de deux jours vise à apporter une analyse critique et exhaustive des développements les plus récents et innovants en gynécologie obstétrique, a souligné le président de la SRMGO, Houssine Maaouni.
Des praticiens de pays frères et amis qui sont chaque année de plus en plus nombreux prennent également part aux travaux scientifiques, pour échanger leurs expériences réciproques, l'objectif étant de promouvoir la recherche et la pratique médicale.
Les participants venant de France, Belgique, Italie, Espagne, Suisse, Pologne et du Maghreb vont traiter des sujets en rapport avec les difficultés liées à la couverture des frais médicaux ou encore "l'absence de consensus thérapeutiques nationaux permettant aux malades de bénéficier de tous les traitements recommandés, a-t-il souligné.
L'humanisation des soins, a-t-il poursuivi, constitue un des constituants de la mutation profonde que connaissent les hôpitaux ces dernières années et ce grâce aux efforts consentis des instances concernées, soulignant que les établissements hospitaliers doivent être un lieu d'enseignement et de recherches scientifiques, mais aussi, et surtout, une référence en matière d'offre de prestations sanitaires de qualité.