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Les implants mammaires existent depuis 50 ans, mais les risques de complications et les doutes sur leur durée de vie restent importants, selon les experts et les autorités sanitaires. Le débat sur les prothèses ressurgit à l'occasion de l'affaire impliquant le fabricant français PIP (Poly Implants Prothèses), dont les produits, retirés du marché français l'an dernier, présentaient un risque de rupture plus élevé que la moyenne.
La première pose d'implants mammaires remonte à 1962, aux Etats-Unis. Les premiers ont été développés par deux chirurgiens plastiques du Texas, en collaboration avec le fabricant de silicone Dow Corning Corporation.
Depuis 50 ans, entre cinq et dix millions de femmes se sont fait poser des prothèses dans le monde, dont un quart environ aux Etats-Unis.
Plusieurs types d'implants existent, mais les prothèses en silicone sont l'option privilégiée par les patientes en raison de leur ressemblance visuelle et sensorielle avec les vraies poitrines. Mais les doutes sur leur fiabilité sont tenaces et ne datent pas de l'affaire PIP.
En 1992, l'agence américaine du médicament, la Food and Drugs Administration (FDA), avait demandé le retrait du marché des implants en silicone tant que leur innocuité ne serait pas complètement prouvée.
En 2006, la FDA a approuvé des prothèses d'Allergan et Mentor, une filiale de Johnson & Johnson, à condition que les entreprises suivent durant dix ans un échantillon de 40.000 patientes.
La pose des implants en silicone ou contenant une solution saline, les plus courants, se fait normalement sous anesthésie générale et ne prend qu'une heure et demie.
"Les implants mammaires ne durent pas toute une vie, il faudra les remplacer à un moment", prévient la Société britannique d'information sur les implants.
Selon l'organisation, les prothèses les plus récentes peuvent durer 20 à 25 ans, soit dix ans de plus que celles posées dans les années 1960 et 1970. Pour les adolescentes, qui sont nombreuses à y avoir recours en Amérique latine, cela représente deux ou trois opérations.
Les complications peuvent aussi nécessiter de nouvelles opérations chirurgicales, s'il y a suintement ou perforation de l'enveloppe.
L'une des plus importantes complications locales est la contracture des tissus entourant l'implant, qui peut causer des douleurs aiguës au sein. La FDA a averti cette année que la plupart des porteuses de prothèses mammaires devaient se faire réopérer dans les dix ans suivant l'implantation en raison d'une fuite ou d'une rupture de la prothèse.
La première pose d'implants mammaires remonte à 1962, aux Etats-Unis. Les premiers ont été développés par deux chirurgiens plastiques du Texas, en collaboration avec le fabricant de silicone Dow Corning Corporation.
Depuis 50 ans, entre cinq et dix millions de femmes se sont fait poser des prothèses dans le monde, dont un quart environ aux Etats-Unis.
Plusieurs types d'implants existent, mais les prothèses en silicone sont l'option privilégiée par les patientes en raison de leur ressemblance visuelle et sensorielle avec les vraies poitrines. Mais les doutes sur leur fiabilité sont tenaces et ne datent pas de l'affaire PIP.
En 1992, l'agence américaine du médicament, la Food and Drugs Administration (FDA), avait demandé le retrait du marché des implants en silicone tant que leur innocuité ne serait pas complètement prouvée.
En 2006, la FDA a approuvé des prothèses d'Allergan et Mentor, une filiale de Johnson & Johnson, à condition que les entreprises suivent durant dix ans un échantillon de 40.000 patientes.
La pose des implants en silicone ou contenant une solution saline, les plus courants, se fait normalement sous anesthésie générale et ne prend qu'une heure et demie.
"Les implants mammaires ne durent pas toute une vie, il faudra les remplacer à un moment", prévient la Société britannique d'information sur les implants.
Selon l'organisation, les prothèses les plus récentes peuvent durer 20 à 25 ans, soit dix ans de plus que celles posées dans les années 1960 et 1970. Pour les adolescentes, qui sont nombreuses à y avoir recours en Amérique latine, cela représente deux ou trois opérations.
Les complications peuvent aussi nécessiter de nouvelles opérations chirurgicales, s'il y a suintement ou perforation de l'enveloppe.
L'une des plus importantes complications locales est la contracture des tissus entourant l'implant, qui peut causer des douleurs aiguës au sein. La FDA a averti cette année que la plupart des porteuses de prothèses mammaires devaient se faire réopérer dans les dix ans suivant l'implantation en raison d'une fuite ou d'une rupture de la prothèse.