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Il s'agit de l'insuffisance pondérale pendant l'enfance, des rapports sexuels à risque, de l'alcoolisme, de l'eau non potable et de l'assainissement médiocre et de l'hypertension, précise l'OMS, dans un rapport qu'elle doit publier prochainement. L'Organisation ajoute que le seul fait de réduire l'exposition à ces cinq facteurs de risque permettrait d'augmenter l'espérance de vie mondiale d'environ cinq ans.
Le rapport, qui porte sur les risques sanitaires mondiaux déterminera la charge de morbidité et de mortalité régionale et mondiale associée à 24 risques pour la santé, lesquels facteurs vont des risques environnementaux, tels que l'exposition à la fumée due à l'utilisation de combustibles solides à l'intérieur des habitations, aux risques métaboliques tels que l'hypertension.
Le document décrit l'évolution des profils de risques des pays en développement, signalant que les risques sanitaires mondiaux sont en cours d'évolution marqués par la baisse des taux de fécondité et de la mortalité due aux maladies infectieuses chez les plus jeunes, ce qui se traduit par une structure de la population où prédominent les personnes âgées.
En même temps, poursuit le rapport, les modes d'activité physique, d'alimentation, de consommation d'alcool et de tabac changent et les pays à revenu faible ou intermédiaire sont désormais confrontés à une charge croissante d'affections chroniques non transmissibles, en plus des maladies infectieuses. L'OMS estime essentiel de comprendre les effets des risques pour la santé pour mieux concevoir et cibler les efforts de prévention, faisant remarquer que l'analyse des facteurs de risque est difficile en raison de la complexité inhérente à la collecte et à l'interprétation des données factuelles sur les risques et leur incrimination dans les maladies et incapacités.
Les conclusions du rapport, indique l'OMS, constituent une contribution utile à l'élaboration de politiques en les associant aux informations dont on dispose sur les coûts et l'efficacité des interventions.
Ces conclusions recensent également les facteurs de risque pour lesquels des recherches plus approfondies sont nécessaires afin d'élaborer des interventions efficaces, notamment le surpoids et la sédentarité.











