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Du coup, aux nids-de-poule de nos chemins carrossables jadis, viennent s’ajouter désormais dans le paysage bitumeux de nos agglomérations, ces fameux dos-d’âne à titre de ralentisseurs qui, dans bien des cas, ne sont pas du goût de tout le monde.
Donc, à y creuser un peu plus, quoique le terme ne soit pas au cassis mais à l’élévation, et en y cassant quelques amortisseurs, même posés par les meilleurs des aménageurs de la voierie, nos ralentisseurs « felbeldi » sont souvent, illégaux et pour le moins inadaptés. Mis à part quelques rares ouvrages qui entrent dans le cadre de la légalité, ce n’est hélas pas le cas pour la plupart dont bon nombre ne sont assortis d’aucun panneau de signalisation.
Pire, quand quelques malins du coin au sens de l’initiative bien développé, retroussent leurs manches pour induire la chaussée du plus dur des bétons afin de permettre aux bambins du voisinage de taper de tout leur soûl dans le ballon et caresser les rêves du grand footballeur qu’ils ne seront jamais, c’est la cata généralisée.
Devant le silence de l’autorité, c’est à se poser plein de questions quant à la légalité de tels ouvrages sur nos bitumes qui cultivent à qui mieux mieux, des « bosses de chameaux » à titre de dos-d’âne.