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"Le fardeau de la dette ralentit le développement et complique la réalisation des ODD", a indiqué M. Banga lors d'une conférence de presse à l'occasion des Assemblées annuelles de la BM et du Fonds monétaire international (FMI).
"Même si la dette empêche les pays d'investir là où il le faudrait, on ne peut pas remplacer le cadre commun" du G20 pour le traitement de la dette, a-t-il affirmé.
Ce cadre commun commence à donner des résultats, a assuré M. Banga, notant que le processus est très long, mais des progrès ont été enregistrés dans plusieurs pays africains.
En revanche, a-t-il relevé, il faut revoir la forme de la dette pour mieux l’adapter à la réalité du marché qui ne ressemble plus à ce qu’il était il y a 20 ans.
M. Banga a insisté sur la nécessité de réunir tous les acteurs autour de la même table pour une meilleure compréhension de la situation dans les pays endettés.









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