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			 Au cours d’un contrôle de routine, des policiers ont tenu à vérifier l’identité de la personne interpelée sur la voie publique. Au commissariat, le cours des choses a changé. On a informé l’étudiant, mis en cause, qu’il est recherché dans le cadre d’une ancienne affaire.
« Cela montre qu’Ismaïl a été suivi par la police, que la détention n’avait rien à avoir avec une simple vérification d’identité et qu’il y avait une intention préméditée de l’arrêter », indique un avocat de la ville. Le prévenu qui a été déféré mardi 16 juin devant le procureur du Roi, près le tribunal de première instance de Kénitra, avait déjà été arrêté à deux reprises, à cause de son activisme au sein du syndicat estudiantin de l’Union nationale des étudiants du Maroc -UNEM-.
Selon des sources estudiantines, la détention pourrait être liée au dossier relatif aux protestations survenues en novembre 2014 contre les tarifs des transports urbains. Onze étudiants avaient été condamnés le 14 décembre 2014, à des peines allant de 10 mois de prison ferme à deux mois avec sursis.
Ils étaient poursuivis notamment pour attroupement, désobéissance et actes de violence contre les forces de l'ordre.
Mohamed Haddach, défenseur de ce groupe d’étudiants détenus, avait à l’époque déclaré que ces poursuites trouvaient leur origine dans le fait que les prévenus étaient tous des militants au sein de l’UNEM.

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