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Intense ou chronique, le bruit fatigue nos oreilles et use notre système auditif. Et si on chouchoutait notre ouïe, ce sens précieux et pourtant négligé, avant qu'il ne soit trop tard ? Voici trois habitudes à prendre pour protéger son ouïe.
Je surveille mes oreilles de près
La presbyacousie, ou surdité due à l'âge et au vieillissement des cellules auditives, peut se manifester dès la cinquantaine. La bonne idée pour y faire face ? Procéder à des bilans réguliers, car plus la perte auditive est diagnostiquée précocement, mieux elle pourra être prise en charge et corrigée par un appareillage. Un rendez-vous tous les trois ans - et ce, même si on a l'impression de bien entendre -chez un ORL est donc recommandé à partir de cinquante ans. Et en cas de signe de baisse d'audition, notamment dans les situations bruyantes, on n'hésite pas à consulter rapidement, sans attendre d'éprouver de grandes difficultés de compréhension.
J'évite de nuire à mon audition
Les spécialistes ont sonné l'alerte : il faut impérativement éviter les traumatismes sonores qui engendrent surdité précoce et acouphènes ! En concert ou en festival (limités à 102 dB depuis octobre 2018, contre 105 dB avant), il faut s'éloigner des enceintes et faire des pauses de 10 minutes toutes les 45 minutes (ou de 30 minutes toutes les 2 heures), ou porter des bouchons d'oreilles (souvent distribués gratuitement). Quant au casque de baladeur, le son qu'il envoie est d'environ 110 dB, soit un seuil largement dangereux. Exit, donc, le casque et les écouteurs intra-auriculaires, souvent mis trop fort: on préfère les enceintes, grâce auxquelles on surveille plus raisonnablement le niveau sonore.
Je repose mon audition le plus possible
Pour que notre système auditif ait le temps de récupérer, on s'offre le plus souvent possible des plages de silence, surtout en sortant d'une ambiance particulièrement bruyante : il faut laisser ses oreilles au calme pendant plusieurs heures ! Chez soi, on fait la "chasse au bruit" en surveillant l'isolation, en évitant les appareils domestiques qui "bourdonnent" trop fort ainsi que les bruits de fond permanents (radio, télévision), et... en coupant son téléphone !
Dans un espace de travail très sonore, on peut s'isoler (pour préserver ses oreilles mais aussi sa concentration) grâce à un casque antibruit. Et dans les situations "à risque", les bouchons d'oreilles - notamment ceux dits à filtres passifs ou acoustiques, spécialement adaptés aux environnements très sonores, y compris au-dessus de 100 dB -restituent correctement les sons tout en protégeant les cellules auditives.
Je surveille mes oreilles de près
La presbyacousie, ou surdité due à l'âge et au vieillissement des cellules auditives, peut se manifester dès la cinquantaine. La bonne idée pour y faire face ? Procéder à des bilans réguliers, car plus la perte auditive est diagnostiquée précocement, mieux elle pourra être prise en charge et corrigée par un appareillage. Un rendez-vous tous les trois ans - et ce, même si on a l'impression de bien entendre -chez un ORL est donc recommandé à partir de cinquante ans. Et en cas de signe de baisse d'audition, notamment dans les situations bruyantes, on n'hésite pas à consulter rapidement, sans attendre d'éprouver de grandes difficultés de compréhension.
J'évite de nuire à mon audition
Les spécialistes ont sonné l'alerte : il faut impérativement éviter les traumatismes sonores qui engendrent surdité précoce et acouphènes ! En concert ou en festival (limités à 102 dB depuis octobre 2018, contre 105 dB avant), il faut s'éloigner des enceintes et faire des pauses de 10 minutes toutes les 45 minutes (ou de 30 minutes toutes les 2 heures), ou porter des bouchons d'oreilles (souvent distribués gratuitement). Quant au casque de baladeur, le son qu'il envoie est d'environ 110 dB, soit un seuil largement dangereux. Exit, donc, le casque et les écouteurs intra-auriculaires, souvent mis trop fort: on préfère les enceintes, grâce auxquelles on surveille plus raisonnablement le niveau sonore.
Je repose mon audition le plus possible
Pour que notre système auditif ait le temps de récupérer, on s'offre le plus souvent possible des plages de silence, surtout en sortant d'une ambiance particulièrement bruyante : il faut laisser ses oreilles au calme pendant plusieurs heures ! Chez soi, on fait la "chasse au bruit" en surveillant l'isolation, en évitant les appareils domestiques qui "bourdonnent" trop fort ainsi que les bruits de fond permanents (radio, télévision), et... en coupant son téléphone !
Dans un espace de travail très sonore, on peut s'isoler (pour préserver ses oreilles mais aussi sa concentration) grâce à un casque antibruit. Et dans les situations "à risque", les bouchons d'oreilles - notamment ceux dits à filtres passifs ou acoustiques, spécialement adaptés aux environnements très sonores, y compris au-dessus de 100 dB -restituent correctement les sons tout en protégeant les cellules auditives.