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D’autre part, et pour la première fois de son histoire, le FIFM rend des hommages simultanés à deux figures de la production cinématographique marocaine, Zakaria Alaoui et Khadija Alami. En mettant à l’honneur ces deux producteurs marocains, qui ont brillé par leur participation à la direction de plusieurs grandes productions étrangères au Maroc, le Festival de Marrakech rend hommage à l’ensemble des professionnels marocains œuvrant pour le développement de ce secteur à fort potentiel économique.
Depuis ses débuts, le festival a témoigné de la vitalité et de la puissance de la cinématographie japonaise, à travers la sélection de films en compétition et les hommages rendus à certains de ses plus illustres représentants. Aujourd’hui, l’édition 2014 célèbre le cinéma japonais, invité d’honneur, en accueillant une importante délégation d’acteurs, réalisateurs et producteurs, mais il en profitera aussi pour mettre en lumière les maîtres du Soleil levant de l’histoire du cinéma du Japon. Ladite délégation, importante par le nombre et la qualité des personnalités qui la composent, des producteurs, des comédiens et comédiennes, des scénaristes, des réalisateurs et des directeurs de festival, est présidée par l’une des figures du renouveau du cinéma japonais, le cinéaste Hirokazu Kore-Eda, auteur d’une riche filmographie qui lui a valu des récompenses prestigieuses à travers le monde et un hommage appuyé au Festival de Marrakech en 2013. Il est également producteur n’hésitant pas à s’investir dans la production, de jeunes talents du cinéma japonais. Très diversifiée, la délégation comporte des réalisateurs de genres variés et de générations différentes à l’image de Kyochi Kurosawa, l’un des plus célèbres cinéastes de la nouvelle vague japonaise ou comme la jeune Kiki Sugino, comédienne et réalisatrice. C’est une rétrospective, de plus de 26 films, qui offre aux cinéphiles et au public du festival un large panorama de la riche filmographie de cette grande nation du cinéma. Cela va des films de grands maîtres qui ont assuré au cinéma japonais un ancrage social fort tout en forgeant une esthétique propre avec Ozu, Mizogushi, Naruse, Akira Kurosawa, Shohei Imamura, au cinéma d'aujourd'hui reconnu internationalement et incarné par Kore-Eda, Kyioshi Kurosawa, Naomi Kawase, Nobu Sawara ou encore Ryuishi Hiroki.
Sélection officielle : Un jour, un film…
« Everything we loved » de Max Currie
Synopsis :
En Nouvelle-Zélande, Charlie, un magicien timoré, redonne à son épouse le goût de la vie et du bonheur en lui réservant son meilleur tour de magie : l’apparition d’un petit garçon, autour duquel le cocon familial qu’ils parviennent alors à créer avec tout l’amour du monde, est soudain menacé lorsque le couple se retrouve accusé d’enlèvement d’enfant.
Réalisateur (Max Currie):
Il obtient une licence en sciences politiques de l’Université de Victoria de Wellington, et devient présentateur vedette de la télévision néo-zélandaise. Il réalise ensuite un court métrage primé, puis se lance dans l’écriture de séries télévisées. Depuis 2008, il écrit notamment pour la série dramatique très populaire à la télévision néo-zélandaise « Shortland Street », et plus récemment, pour la comédie dramatique « Dave ».
Pays : Nouvelle-Zélande
Année : 2014
Durée : 1h40
Format : en couleurs - DCP
Langue : anglais
Sous titrage : arabe & français
Fiche Technique
Production - Tom hern & luke robinson – four knights film
Scénario - Max currie
Image - Dave garbett
Montage - Dan kircher
Musique - Tim prebble
Interprétation
Brett Stewart - Charlie
Sia Trokenheim - Angela
Ben Clarkson - Tommy