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La 1ère édition du Festival international de poésie de Casablanca s’est clôturée, samedi, dans une ambiance chaleureuse et inspirée, après trois jours intenses de célébration de la parole poétique.
Porté par l’ambition de faire de Casablanca une plateforme majeure de rayonnement poétique, ce festival a pour objectif de valoriser la poésie marocaine et arabe tout en favorisant le dialogue entre les différentes cultures à travers une expression littéraire universelle et humaniste.
Dans une déclaration à la MAP, Abderrahmane Chakib, directeur du festival, a exprimé sa satisfaction quant au déroulement de cette première édition qui a permis à la ville de Casablanca de consolider sa dynamique culturelle.
Le festival a mis à l’honneur la poésie marocaine et arabe, notamment à travers un hommage rendu au poète feu Mohamed Aniba Al Hamri, figure littéraire de premier plan dans le champ poétique national, a indiqué M. Chakib.
Pendant trois jours, les scènes du festival ont accueilli des poètes venus du monde entier, des lectures, des rencontres et des échanges intellectuels, a-t-il ajouté, notant que ce large éventail de voix a conféré au festival un rayonnement international inédit pour un premier rendez-vous.
Selon lui, la deuxième édition sera une plus grande opportunité de rassembler des poètes de Casablanca et visera à connecter toutes les scènes poétiques mondiales.
De son côté, Radhouane Ajroudie, poète tunisien, a évoqué les projets nés des échanges pendant le festival, notamment autour de la traduction, relevant que la poésie marocaine connaît aujourd’hui un rayonnement croissant à l’échelle internationale.
Par ailleurs, il a salué l’initiative marocaine du Prix international de poésie Argana, organisé par la Maison de la poésie au Maroc, qui récompense chaque année des poètes de renommée mondiale pour leur apport à la littérature universelle.
Organisée par le centre Al Anwar sous le thème "La poésie et la culture au service de la diplomatie parallèle", cette 1ère édition a connu la participation de poètes renommés et de talents émergents venus des Etats-Unis, du Pérou, de l’Irak, des Pays-Bas, du Liban, du Koweït, de l’Arabie Saoudite, de l’Inde, ainsi que du Maroc.
Cette édition, riche en activités, entend affirmer la poésie comme vecteur de dialogue culturel et humain, à travers un programme mêlant lectures, débats, ateliers et événements artistiques, pour souligner son rôle dans les enjeux humains et renforcer la présence culturelle du Maroc à l'international.
Porté par l’ambition de faire de Casablanca une plateforme majeure de rayonnement poétique, ce festival a pour objectif de valoriser la poésie marocaine et arabe tout en favorisant le dialogue entre les différentes cultures à travers une expression littéraire universelle et humaniste.
Dans une déclaration à la MAP, Abderrahmane Chakib, directeur du festival, a exprimé sa satisfaction quant au déroulement de cette première édition qui a permis à la ville de Casablanca de consolider sa dynamique culturelle.
Le festival a mis à l’honneur la poésie marocaine et arabe, notamment à travers un hommage rendu au poète feu Mohamed Aniba Al Hamri, figure littéraire de premier plan dans le champ poétique national, a indiqué M. Chakib.
Pendant trois jours, les scènes du festival ont accueilli des poètes venus du monde entier, des lectures, des rencontres et des échanges intellectuels, a-t-il ajouté, notant que ce large éventail de voix a conféré au festival un rayonnement international inédit pour un premier rendez-vous.
Selon lui, la deuxième édition sera une plus grande opportunité de rassembler des poètes de Casablanca et visera à connecter toutes les scènes poétiques mondiales.
De son côté, Radhouane Ajroudie, poète tunisien, a évoqué les projets nés des échanges pendant le festival, notamment autour de la traduction, relevant que la poésie marocaine connaît aujourd’hui un rayonnement croissant à l’échelle internationale.
Par ailleurs, il a salué l’initiative marocaine du Prix international de poésie Argana, organisé par la Maison de la poésie au Maroc, qui récompense chaque année des poètes de renommée mondiale pour leur apport à la littérature universelle.
Organisée par le centre Al Anwar sous le thème "La poésie et la culture au service de la diplomatie parallèle", cette 1ère édition a connu la participation de poètes renommés et de talents émergents venus des Etats-Unis, du Pérou, de l’Irak, des Pays-Bas, du Liban, du Koweït, de l’Arabie Saoudite, de l’Inde, ainsi que du Maroc.
Cette édition, riche en activités, entend affirmer la poésie comme vecteur de dialogue culturel et humain, à travers un programme mêlant lectures, débats, ateliers et événements artistiques, pour souligner son rôle dans les enjeux humains et renforcer la présence culturelle du Maroc à l'international.