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Les experts des 11 pays (Maroc, Algérie, Burkina Faso, Cameroun, Côte d'Ivoire, France, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal et Tunisie) qui ont discuté du «terrorisme et du trafic de drogue» dans cette région, ont décidé de «créer un bulletin d'information intitulé La Lettre de Nouakchott ». Cette publication est destinée à informer sur «la sécurité en général et le terrorisme en particulier», selon le texte.
«Cette revue est un espace d'échanges et de réflexion» et sa diffusion sera assurée par la Direction de la sûreté mauritanienne avec le soutien de l'attaché régional de sécurité intérieure en poste à l'ambassade de France à Dakar, est-il précisé.
Parmi les experts, qui ont travaillé avec des collègues d'Espagne, d'Italie et d'Allemagne, Alain Antil, chercheur à l'Institut français des relations internationales (Ifri), a exposé les «connexions» entre jihadisme et trafic de drogue.
«Vraisemblablement, le risque autour des groupes terroristes va s'installer durablement dans la région», malgré l'intervention internationale Serval, initiée par la France au Mali à partir de janvier 2013, qui a «permis d'affaiblir ces groupes», a-t-il estimé.
Après une résurgence des groupes jihadistes dans le nord du Mali depuis quelques mois, leurs actions de harcèlement sont en baisse à la suite de l'opération lancée par la force Barkhane, qui a succédé à Serval, achevée début novembre, a affirmé jeudi le porte-parole de l'état-major des armées françaises, le colonel Gilles Jaron.
«Les groupes armés sont plutôt dans une posture d'évitement, un refus systématique de contact avec les forces de Barkhane et des différents pays du G5» (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Tchad, créé en mai 2014), a déclaré le colonel Jaron lors d'un point de presse à Paris.







