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Un rapport des Nations unies publié jeudi indique que le moindre choc économique risque de faire basculer 2,8 milliards d'individus dans la misère.
Dans son rapport mondial sur la situation sociale, l’organisation internationale relève que malgré les progrès notables réalisés dans la réduction de l’extrême pauvreté - moins de 2,15 dollars par personne et par jour - au cours des trois dernières décennies, plus d’un quart de l’humanité vit avec des revenus avoisinant ce seuil.
L’étude note que la précarité de l’emploi aggrave cette insécurité économique, expliquant que 60% de la population mondiale vit dans la crainte de perdre son emploi et d’être dans l’incapacité d’en trouver un autre.
"Parallèlement, près des deux tiers des habitants de la planète résident dans des pays où les inégalités de revenus s’accentuent, souvent en raison de discriminations fondées sur la race, la caste ou l’origine sociale", ajoute la même source.
“Pour beaucoup, la vie est marquée par l’incertitude et l’insécurité, ce qui alimente la frustration et creuse les divisions. Les objectifs de développement durable sont largement hors de portée”, a déploré le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, dans une déclaration publiée à l’occasion de la publication de ce rapport intitulé “Un nouveau consensus politique pour accélérer le progrès social”.
Face à cette situation, le rapport appelle à un nouveau consensus politique fondé sur l’équité, la sécurité économique pour tous, et la solidarité. Le but étant de restaurer la cohésion sociale et relancer la dynamique en faveur des objectifs de développement durable à l’horizon 2030, souligne l’organisation multilatérale.
De son côté, le Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales de l'ONU, Li Junhua, a jugé urgent de repenser les approches économiques et sociales si “l’on veut éviter que l’insécurité et la défiance ne deviennent structurelles”.
Selon le Département des affaires économiques et sociales de l’ONU, qui a rédigé le rapport en collaboration avec l’Université des Nations unies, cette étude présentée lors d'une rencontre à New York, se veut un appel urgent à refonder le contrat social mondial.
Dans son rapport mondial sur la situation sociale, l’organisation internationale relève que malgré les progrès notables réalisés dans la réduction de l’extrême pauvreté - moins de 2,15 dollars par personne et par jour - au cours des trois dernières décennies, plus d’un quart de l’humanité vit avec des revenus avoisinant ce seuil.
L’étude note que la précarité de l’emploi aggrave cette insécurité économique, expliquant que 60% de la population mondiale vit dans la crainte de perdre son emploi et d’être dans l’incapacité d’en trouver un autre.
"Parallèlement, près des deux tiers des habitants de la planète résident dans des pays où les inégalités de revenus s’accentuent, souvent en raison de discriminations fondées sur la race, la caste ou l’origine sociale", ajoute la même source.
“Pour beaucoup, la vie est marquée par l’incertitude et l’insécurité, ce qui alimente la frustration et creuse les divisions. Les objectifs de développement durable sont largement hors de portée”, a déploré le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, dans une déclaration publiée à l’occasion de la publication de ce rapport intitulé “Un nouveau consensus politique pour accélérer le progrès social”.
Face à cette situation, le rapport appelle à un nouveau consensus politique fondé sur l’équité, la sécurité économique pour tous, et la solidarité. Le but étant de restaurer la cohésion sociale et relancer la dynamique en faveur des objectifs de développement durable à l’horizon 2030, souligne l’organisation multilatérale.
De son côté, le Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales de l'ONU, Li Junhua, a jugé urgent de repenser les approches économiques et sociales si “l’on veut éviter que l’insécurité et la défiance ne deviennent structurelles”.
Selon le Département des affaires économiques et sociales de l’ONU, qui a rédigé le rapport en collaboration avec l’Université des Nations unies, cette étude présentée lors d'une rencontre à New York, se veut un appel urgent à refonder le contrat social mondial.