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Combinaison de cosmonaute
Une combinaison de cosmonaute a été vendue 112.484 euros récemment à Paris, lors d’une vente aux enchères de 180 objets témoins de la conquête soviétique de l’espace, a annoncé la maison de ventes Cornette de Saint Cyr.
Pièce rare, la combinaison de cosmonaute semi-rigide Orlan D était estimée entre 100.000 et 120.000 euros. Elle a été vendue à un acheteur via Internet pour 112.484 euros frais compris.
Les combinaisons Orlan ont été développées par les Soviétiques depuis 1969 pour protéger le cosmonaute lors des sorties dans l’espace.
D’autres objets emblématiques de la conquête spatiale ont été achetés par des passionnés de l’espace ou professionnels du design, a précisé la maison de ventes dans un communiqué.
Une clé de lancement de capsule Soyouz, qui permettait d’initier le compte à rebours, a été emportée à 1.673 euros, triplant son estimation. Un bouclier thermique, une pièce ronde de 25 cm de diamètre, a été vendu 3.861 euros, tandis qu’un extincteur de la station MIR a frôlé les 2000 euros. Une horloge utilisée sur les capsules Soyouz, intégrant des mécaniques très sophistiquées, est partie à 2.316 euros.
Toutes les pièces dispersées faisaient partie du programme spatial soviétique et provenaient d’une seule et même collection française constituée il y a plus d’une quinzaine d’années.
Une combinaison de cosmonaute a été vendue 112.484 euros récemment à Paris, lors d’une vente aux enchères de 180 objets témoins de la conquête soviétique de l’espace, a annoncé la maison de ventes Cornette de Saint Cyr.
Pièce rare, la combinaison de cosmonaute semi-rigide Orlan D était estimée entre 100.000 et 120.000 euros. Elle a été vendue à un acheteur via Internet pour 112.484 euros frais compris.
Les combinaisons Orlan ont été développées par les Soviétiques depuis 1969 pour protéger le cosmonaute lors des sorties dans l’espace.
D’autres objets emblématiques de la conquête spatiale ont été achetés par des passionnés de l’espace ou professionnels du design, a précisé la maison de ventes dans un communiqué.
Une clé de lancement de capsule Soyouz, qui permettait d’initier le compte à rebours, a été emportée à 1.673 euros, triplant son estimation. Un bouclier thermique, une pièce ronde de 25 cm de diamètre, a été vendu 3.861 euros, tandis qu’un extincteur de la station MIR a frôlé les 2000 euros. Une horloge utilisée sur les capsules Soyouz, intégrant des mécaniques très sophistiquées, est partie à 2.316 euros.
Toutes les pièces dispersées faisaient partie du programme spatial soviétique et provenaient d’une seule et même collection française constituée il y a plus d’une quinzaine d’années.

Cent mille dollars tombés du ciel
Divine surprise pour les villageois d’Aurignac, en Haute-Garonne (France): un couple de Texans leur a adressé il y a quelques semaines un chèque de 100.000 dollars, pour remettre en état l’église paroissiale, abîmée par l’humidité.
Les deux mécènes, de passage l’an dernier dans la région, se sont émus de cette situation et ont décidé de transmettre à l’Association de sauvegarde du vieil Aurignac (Asva) un don pour protéger le patrimoine religieux de ce village médiéval de 1.200 habitants.
“On a compté et recompté les zéros, mais non, ils ne s’étaient pas trompés”, raconte sa présidente Anne-Marie Bos. “C’est un don du ciel. Notre village n’est pas riche et il y a tellement de choses à faire.”
L’Asva, qui a mis par le passé plus d’une année pour collecter 5.000 euros afin de restaurer un tableau, a déjà dressé avec la mairie une liste des réparations à conduire dans l’église Saint-Pierre-aux-Liens, dont certaines parties datent du XIIIe siècle.
Divine surprise pour les villageois d’Aurignac, en Haute-Garonne (France): un couple de Texans leur a adressé il y a quelques semaines un chèque de 100.000 dollars, pour remettre en état l’église paroissiale, abîmée par l’humidité.
Les deux mécènes, de passage l’an dernier dans la région, se sont émus de cette situation et ont décidé de transmettre à l’Association de sauvegarde du vieil Aurignac (Asva) un don pour protéger le patrimoine religieux de ce village médiéval de 1.200 habitants.
“On a compté et recompté les zéros, mais non, ils ne s’étaient pas trompés”, raconte sa présidente Anne-Marie Bos. “C’est un don du ciel. Notre village n’est pas riche et il y a tellement de choses à faire.”
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