Autres articles
-
Trump se déguise en pape sur les réseaux sociaux et s'attire des critiques
-
Le Royaume-Uni forcé de revoir le service du thé à l'exposition universelle d'Osaka
-
Déclin des populations d'oiseaux en Amérique du Nord
-
Louer une poule, nouvelle mode contre la flambée du prix des œufs aux Etats-Unis
-
Avec un gâteau de 121 mètres, la France récupère le record du plus grand fraisier du monde
Une étude de l’American College of Chest Physicians publiée le 7 février dans la revue Chest, montre que les passagers qui voyagent côté hublot lors d’un vol de plus de six heures, ont plus de risques de développer des caillots de sang dans les jambes selon le site 121doc.net. Ces formations de caillots étaient à tort appelées «syndrome de la classe économique» en référence au peu d’espace disponible en seconde classe.
«Ce n’est pas le fait d’être assis dans un espace confiné qui augmente les chances de souffrir d’une thrombose, c’est le fait d’être assis côté hublot. Ces voyageurs sont en effet moins susceptibles de se lever et de se déplacer que ceux assis plus près du couloir.» Les spécialistes assurent tout de même que les cas de thrombose lors de vols long-courriers restent assez rares et conseillent aux personnes dites «à risque» (les obèses, les personnes âgées, les femmes prenant la pilule contraceptive, etc.) de prendre leurs précautions selon le site le Soleil: porter des chaussettes de compression, effectuer de petites marches fréquentes durant le vol et des étirements.
De plus, on sait que les places centrales ne sont pas forcément les plus sûres non plus, notamment en cas de crash d’avion comme nous le signalions en juillet 2009:
«Quel siège est le plus sûr?», une question que tout le monde s’est déjà posé en entrant dans un avion, surtout s’il s’agit d’un vol low-cost où les places ne sont pas attribuées. Pour certains, les places du milieu présentent moins de risques, car le fuselage y est plus résistant. Mais c’est également là que se trouvent les réservoirs de carburant. Selon CNN, qui s’est penché sur la question, il est probable que la «place la plus sûre» n’existe pas. Même une place proche des sorties de secours ne garantit pas une évacuation rapide, les portes ne fonctionnant pas toujours après un accident. Quant aux places qui bordent les allées, elles permettent plus de mobilité mais sont sujettes à un autre type de risque, bien plus fréquent que le crash: les bagages qui tombent des compartiments sur la tête.»
«Ce n’est pas le fait d’être assis dans un espace confiné qui augmente les chances de souffrir d’une thrombose, c’est le fait d’être assis côté hublot. Ces voyageurs sont en effet moins susceptibles de se lever et de se déplacer que ceux assis plus près du couloir.» Les spécialistes assurent tout de même que les cas de thrombose lors de vols long-courriers restent assez rares et conseillent aux personnes dites «à risque» (les obèses, les personnes âgées, les femmes prenant la pilule contraceptive, etc.) de prendre leurs précautions selon le site le Soleil: porter des chaussettes de compression, effectuer de petites marches fréquentes durant le vol et des étirements.
De plus, on sait que les places centrales ne sont pas forcément les plus sûres non plus, notamment en cas de crash d’avion comme nous le signalions en juillet 2009:
«Quel siège est le plus sûr?», une question que tout le monde s’est déjà posé en entrant dans un avion, surtout s’il s’agit d’un vol low-cost où les places ne sont pas attribuées. Pour certains, les places du milieu présentent moins de risques, car le fuselage y est plus résistant. Mais c’est également là que se trouvent les réservoirs de carburant. Selon CNN, qui s’est penché sur la question, il est probable que la «place la plus sûre» n’existe pas. Même une place proche des sorties de secours ne garantit pas une évacuation rapide, les portes ne fonctionnant pas toujours après un accident. Quant aux places qui bordent les allées, elles permettent plus de mobilité mais sont sujettes à un autre type de risque, bien plus fréquent que le crash: les bagages qui tombent des compartiments sur la tête.»