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Voler grâce à un moteur accroché sur le dos fait depuis toujours fantasmer les amateurs de science-fiction. Un inventeur néo-zélandais, Glenn Martin, a testé avec succès son prototype et espère bien commercialiser son “jetpack” d’ici 18 mois. Après trente années de recherches acharnées, le “Martin Jetpack” (http://martinjetpack.com) a réussi fin mai à s’élever à 1.500 mètres du sol, fixé sur un mannequin, et à survoler les plaines de la région de Canterbury, dans l’île du sud de la Nouvelle-Zélande. Le succès de cet essai est une étape cruciale pour le Néo-Zélandais qui rêve de commercialiser le premier réacteur dorsal au monde utilisable facilement et régulièrement.
“Les premières personnes qui l’utiliseront seront les personnels médicaux pour les interventions d’urgence”, explique-t-il à l’AFP dans son atelier de Christchurch. “On pourra ensuite l’équiper de caméras, pour des informations sur le trafic routier, puis l’employer pour aller au travail, ou pour s’amuser”.
L’inventeur a puisé son inspiration dans les séries télévisées qu’il regardait enfant. “J’ai envie d’en avoir un depuis que j’ai cinq ans. J’étais déçu de ne pas en trouver en magasin. Je me suis dit qu’il fallait que j’en fabrique un”, déclare-t-il.
L’engin futuriste est encore en phase de test et devrait être proposé à la vente en 2012 pour 100.000 dollars US (69.000 euros).
Le magazine américain Time avait qualifié l’an dernier le prototype de Glenn Martin d’invention parmi les plus attendues au monde. Mais l’inventeur sait que l’histoire du “jetpack” est ponctuée d’échecs.
Le plus connu est sans doute le Bell Rocket Belt, qui apparaît dans le film “Opération Tonnerre”, un James Bond de 1965. L’engin ne pouvait voler que trente secondes.
Plus grand que ses prédécesseurs, le jetpack de Glenn Martin est composé de deux cylindres abritant des moteurs V4 2 litres à injection directe, de 200 chevaux, fixés sur un cadre en fibre de carbone. Le tout pèse moins de 115 kilos.
L’appareil peut théoriquement voler 30 minutes sur une distance de 50 kilomètres, mais l’inventeur travaille à des versions offrant de plus grandes capacités. Il se conduit grâce à deux leviers, dont on acquiert la maîtrise en moins d’une heure, selon Glenn Martin. Si le vol tourne mal, un parachute s’ouvre automatiquement.
Le réacteur dorsal fonctionne avec de l’essence ordinaire. “Vous pouvez faire le plein à votre station habituelle, prendre un Coca et un sandwich et repartir”, note son inventeur.
“Les premières personnes qui l’utiliseront seront les personnels médicaux pour les interventions d’urgence”, explique-t-il à l’AFP dans son atelier de Christchurch. “On pourra ensuite l’équiper de caméras, pour des informations sur le trafic routier, puis l’employer pour aller au travail, ou pour s’amuser”.
L’inventeur a puisé son inspiration dans les séries télévisées qu’il regardait enfant. “J’ai envie d’en avoir un depuis que j’ai cinq ans. J’étais déçu de ne pas en trouver en magasin. Je me suis dit qu’il fallait que j’en fabrique un”, déclare-t-il.
L’engin futuriste est encore en phase de test et devrait être proposé à la vente en 2012 pour 100.000 dollars US (69.000 euros).
Le magazine américain Time avait qualifié l’an dernier le prototype de Glenn Martin d’invention parmi les plus attendues au monde. Mais l’inventeur sait que l’histoire du “jetpack” est ponctuée d’échecs.
Le plus connu est sans doute le Bell Rocket Belt, qui apparaît dans le film “Opération Tonnerre”, un James Bond de 1965. L’engin ne pouvait voler que trente secondes.
Plus grand que ses prédécesseurs, le jetpack de Glenn Martin est composé de deux cylindres abritant des moteurs V4 2 litres à injection directe, de 200 chevaux, fixés sur un cadre en fibre de carbone. Le tout pèse moins de 115 kilos.
L’appareil peut théoriquement voler 30 minutes sur une distance de 50 kilomètres, mais l’inventeur travaille à des versions offrant de plus grandes capacités. Il se conduit grâce à deux leviers, dont on acquiert la maîtrise en moins d’une heure, selon Glenn Martin. Si le vol tourne mal, un parachute s’ouvre automatiquement.
Le réacteur dorsal fonctionne avec de l’essence ordinaire. “Vous pouvez faire le plein à votre station habituelle, prendre un Coca et un sandwich et repartir”, note son inventeur.