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Lundi 16 novembre, les autorités archéologiques israéliennes ont dévoilé une remarquable mosaïque datant de l’époque romaine ou byzantine et retrouvée dans la ville de Lod au sud-est de Tel-Aviv. Le vestige a été découvert il y a un an, lors de travaux menés sur le site archéologique de Lod.
Le heureux hasard veut que ces travaux étaient destinés à la base à construire un musée visant à accueillir une autre mosaïque découverte à cet emplacement même dans les années 1990. C’est en creusant les fondements du bâtiment que les ouvriers seraient tombés nez-à-nez avec le nouveau vestige. La mosaïque polychrome s’étend sur une surface de 11 mètres sur 13. Etant donné sa superficie, plusieurs mois ont été nécessaires pour réaliser les opérations d’excavation. Commencées en juin, elles ont finalement été conclues avec succès en novembre 2014. On peut y voir les figures de nombreux animaux tels qu’un lion sautant sur sa proie, un combat d’éléphants, des poissons colorés, des girafes ou encore des dauphins. En revanche, aucun humain n’y figure et aucune figure liée à une quelconque religion n’y apparait. “La qualité des images indique une grande habileté artistique”, commente Amir Gorzalczany, directeur des fouilles.
Selon lui, la mosaïque ornait très certainement le sol d’une salle à manger dans une luxueuse villa aux époques romaine et byzantine. Le quartier où la mosaïque a été découverte, aurait été autrefois la demeure de riches résidents. “A cette époque, Lod était appelé Diospolis et était la capitale locale, jusqu’à ce qu’elle soit évincée par Ramla après la conquête musulmane”, explique l’archéologue. La mosaïque précédemment découverte a été présentée à quelques-uns des plus grands musées comme celui du Louvre à Paris, le Metropolitan à New York ou encore au musée de l’Ermitage à Saint-Pétersbourg. Elle est actuellement exposée à Venise. Néanmoins, selon les autorités archéologiques israéliennes, les deux œuvres d’art devraient être prochainement réunies dans le centre touristique actuellement en construction à Lod.
Le heureux hasard veut que ces travaux étaient destinés à la base à construire un musée visant à accueillir une autre mosaïque découverte à cet emplacement même dans les années 1990. C’est en creusant les fondements du bâtiment que les ouvriers seraient tombés nez-à-nez avec le nouveau vestige. La mosaïque polychrome s’étend sur une surface de 11 mètres sur 13. Etant donné sa superficie, plusieurs mois ont été nécessaires pour réaliser les opérations d’excavation. Commencées en juin, elles ont finalement été conclues avec succès en novembre 2014. On peut y voir les figures de nombreux animaux tels qu’un lion sautant sur sa proie, un combat d’éléphants, des poissons colorés, des girafes ou encore des dauphins. En revanche, aucun humain n’y figure et aucune figure liée à une quelconque religion n’y apparait. “La qualité des images indique une grande habileté artistique”, commente Amir Gorzalczany, directeur des fouilles.
Selon lui, la mosaïque ornait très certainement le sol d’une salle à manger dans une luxueuse villa aux époques romaine et byzantine. Le quartier où la mosaïque a été découverte, aurait été autrefois la demeure de riches résidents. “A cette époque, Lod était appelé Diospolis et était la capitale locale, jusqu’à ce qu’elle soit évincée par Ramla après la conquête musulmane”, explique l’archéologue. La mosaïque précédemment découverte a été présentée à quelques-uns des plus grands musées comme celui du Louvre à Paris, le Metropolitan à New York ou encore au musée de l’Ermitage à Saint-Pétersbourg. Elle est actuellement exposée à Venise. Néanmoins, selon les autorités archéologiques israéliennes, les deux œuvres d’art devraient être prochainement réunies dans le centre touristique actuellement en construction à Lod.