Autres articles
-
Dans les villages du Bangladesh, le retour de la grande peur des serpents
-
Santé cardiovasculaire : Les bienfaits des produits végétaux dépendent de leur niveau de transformation
-
Lien entre les investissements dans les soins de santé pédiatriques et la prospérité
-
Plébiscité par les grandes maisons de luxe, le cuir "Made in Nigeria" se trace un avenir local
-
Une "planète vagabonde" engloutit gaz et poussières à un rythme effréné
Un loup-garou grogne dans une cage du château, tandis que le professeur Hector Saiao répète la formule pour le dompter.
Cette scène digne d'un film se déroule dans l'Ecole de magie et de sorcellerie du Brésil, inspirée de l'univers d'Harry Potter.
Effrayés, les élèves - quelques enfants et une majorité d'adultes - jouent le jeu face à l'acteur qui campe la bête féroce. Ils saisissent leur baguette magique et répètent les mots de l'enseignant chargé de la matière "Défense contre les ténèbres".
La "Poudlard brésilienne" a été inaugurée en 2015: ce lieu inspiré de l'école de sorcellerie imaginée par l'auteure britannique J.K. Rowling, mère de Harry Potter, vient d'organiser sa cinquième session, dans un vaste château ocre situé à Campos do Jordao, à 200 km de Sao Paulo.
"L'idée, depuis le départ, a été d'adapter et non pas de reproduire exactement l'esthétique de Poudlard.
D'ailleurs, on ne pourrait pas le faire pour des questions de droits d'auteur", déclare à l'AFP Vanessa Godoy, 27 ans, qui a créé cet établissement. "Nous avons nos propres histoires et personnages, et nous abordons notre propre mythologie, car le Brésil est un pays magique", ajoute-t-elle. Les élèves suivent des cours intitulés "Potions et élixirs", "Sorcellerie" ou "Histoire de la magie", passent des examens, participent à des bals et même à un championnat de Quidditch Moldu, sport inspiré de la saga du jeune sorcier.
Mêlant sorcellerie et folklore, les élèves apprennent, par exemple, que les poils de "Curupira" (créature mythologique brésilienne aux cheveux roux qui protège la forêt) et les écailles de "Yara" (sirène brésilienne qui séduit les pêcheurs) sont d'excellents catalyseurs pour leur baguette magique.
Mais cette connaissance a un prix: 2.650 réais, soit quelque 700 euros, pour quatre jours.
Cette scène digne d'un film se déroule dans l'Ecole de magie et de sorcellerie du Brésil, inspirée de l'univers d'Harry Potter.
Effrayés, les élèves - quelques enfants et une majorité d'adultes - jouent le jeu face à l'acteur qui campe la bête féroce. Ils saisissent leur baguette magique et répètent les mots de l'enseignant chargé de la matière "Défense contre les ténèbres".
La "Poudlard brésilienne" a été inaugurée en 2015: ce lieu inspiré de l'école de sorcellerie imaginée par l'auteure britannique J.K. Rowling, mère de Harry Potter, vient d'organiser sa cinquième session, dans un vaste château ocre situé à Campos do Jordao, à 200 km de Sao Paulo.
"L'idée, depuis le départ, a été d'adapter et non pas de reproduire exactement l'esthétique de Poudlard.
D'ailleurs, on ne pourrait pas le faire pour des questions de droits d'auteur", déclare à l'AFP Vanessa Godoy, 27 ans, qui a créé cet établissement. "Nous avons nos propres histoires et personnages, et nous abordons notre propre mythologie, car le Brésil est un pays magique", ajoute-t-elle. Les élèves suivent des cours intitulés "Potions et élixirs", "Sorcellerie" ou "Histoire de la magie", passent des examens, participent à des bals et même à un championnat de Quidditch Moldu, sport inspiré de la saga du jeune sorcier.
Mêlant sorcellerie et folklore, les élèves apprennent, par exemple, que les poils de "Curupira" (créature mythologique brésilienne aux cheveux roux qui protège la forêt) et les écailles de "Yara" (sirène brésilienne qui séduit les pêcheurs) sont d'excellents catalyseurs pour leur baguette magique.
Mais cette connaissance a un prix: 2.650 réais, soit quelque 700 euros, pour quatre jours.