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Les gens qui se sont remis de la grippe A(H1N1) pourraient se retrouver avec des défenses extraordinaires contre les virus de la grippe, affirme une étude qui vient de paraître dans le Journal of Experimental Medicine.
Les scientifiques ont trouvé qu'en combattant H1N1, le corps crée des anticorps capables de tuer beaucoup d'autres souches de grippe. A terme, ils espèrent pouvoir se servir de ce pouvoir pour mettre au point un vaccin universel contre la grippe, qui protégerait de toutes les formes de la maladie, explique la BBC.
Le site compare ce potentiel vaccin au saint-graal des chercheurs spécialisés, et ça fait d'ailleurs déjà des années que des scientifiques tentent de créer ce vaccin: les virus A de grippe humaine mutent très vite et chaque année c'est un virus différent qui est responsable de l'épidémie hivernale, expliquait Le Figaro en 2008 alors qu'un laboratoire anglais annonçait des résultats prometteurs pour un vaccin universel. Chaque année, les représentants de l'OMS déterminent les trois virus de la grippe les plus susceptibles d'entraîner une épidémie, et les vaccins se font à partir de ces candidats, expliquait Futura Sciences en 2005.
Le médecin en charge de l'étude estime que le virus H1N1, qui a contaminé environ 60 millions de personnes l'an dernier, a offert une opportunité unique aux chercheurs:
«Ça démontre comment faire un seul vaccin qui pourrait potentiellement immuniser contre toutes les grippes. Ce qui était surprenant, c'est qu'une souche de grippe si différente, contrairement aux plus communes, pourrait nous amener à quelque chose si largement applicable.»
L'infection a entraîné la production de nombreux anticorps rarement vus après une grippe saisonnière ou un vaccin contre la grippe. Cinq types d'anticorps isolés par l'équipe ont réagi à toutes les souches saisonnières de la dernière décennie, à celle de la grippe espagnole de 1918, et à celle de la grippe aviaire. Les chercheurs veulent désormais examiner les personnes vaccinées contre la grippe H1N1 pour voir si elles ont développé la même «super immunité».
Les scientifiques ont trouvé qu'en combattant H1N1, le corps crée des anticorps capables de tuer beaucoup d'autres souches de grippe. A terme, ils espèrent pouvoir se servir de ce pouvoir pour mettre au point un vaccin universel contre la grippe, qui protégerait de toutes les formes de la maladie, explique la BBC.
Le site compare ce potentiel vaccin au saint-graal des chercheurs spécialisés, et ça fait d'ailleurs déjà des années que des scientifiques tentent de créer ce vaccin: les virus A de grippe humaine mutent très vite et chaque année c'est un virus différent qui est responsable de l'épidémie hivernale, expliquait Le Figaro en 2008 alors qu'un laboratoire anglais annonçait des résultats prometteurs pour un vaccin universel. Chaque année, les représentants de l'OMS déterminent les trois virus de la grippe les plus susceptibles d'entraîner une épidémie, et les vaccins se font à partir de ces candidats, expliquait Futura Sciences en 2005.
Le médecin en charge de l'étude estime que le virus H1N1, qui a contaminé environ 60 millions de personnes l'an dernier, a offert une opportunité unique aux chercheurs:
«Ça démontre comment faire un seul vaccin qui pourrait potentiellement immuniser contre toutes les grippes. Ce qui était surprenant, c'est qu'une souche de grippe si différente, contrairement aux plus communes, pourrait nous amener à quelque chose si largement applicable.»
L'infection a entraîné la production de nombreux anticorps rarement vus après une grippe saisonnière ou un vaccin contre la grippe. Cinq types d'anticorps isolés par l'équipe ont réagi à toutes les souches saisonnières de la dernière décennie, à celle de la grippe espagnole de 1918, et à celle de la grippe aviaire. Les chercheurs veulent désormais examiner les personnes vaccinées contre la grippe H1N1 pour voir si elles ont développé la même «super immunité».