Autres articles
-
Dans les villages du Bangladesh, le retour de la grande peur des serpents
-
Santé cardiovasculaire : Les bienfaits des produits végétaux dépendent de leur niveau de transformation
-
Lien entre les investissements dans les soins de santé pédiatriques et la prospérité
-
Plébiscité par les grandes maisons de luxe, le cuir "Made in Nigeria" se trace un avenir local
-
Une "planète vagabonde" engloutit gaz et poussières à un rythme effréné
En 2009, plus de 50% des animaux utilisés dans les laboratoires britanniques ont été au préalable génétiquement manipulés. Inquiétude des protecteurs des animaux.
Sur 3,6 millions d'expériences réalisées outre-Manche l'année dernière, 48% seulement ont utilisé des animaux génétiquement intacts. Des chiffres qui relancent la colère des associations militant pour le bien-être animal. À double titre. D'abord, le volume de manipulations destinées à implanter des anomalies génétiques sur les animaux destinés à des tests a augmenté de 10 % depuis 2008. Une pratique qui, selon les défenseurs des animaux, n'est pas à l'honneur du gouvernement.
Ensuite, selon Barney Reed, scientifique membre de la Société royale pour la prévention contre la cruauté envers les animaux (RSPCA), le nombre total de bêtes (OGM ou non) utilisées en 2009 témoigne du fait que, en Angleterre, depuis la mise en place de la législation sur l'expérimentation animalière il y a plus de 20 ans, le procédé est plus courant aujourd'hui qu'il ne l'a jamais été ces deux dernières décennies.
Malgré la baisse de 1% du nombre de ces expériences, chiffre avancé par le ministère de l'Intérieur qui se dit toujours engagé dans cette voie, les militants pointent du doigt les conditions de stress et de souffrance pour les animaux de laboratoire.
Sur 3,6 millions d'expériences réalisées outre-Manche l'année dernière, 48% seulement ont utilisé des animaux génétiquement intacts. Des chiffres qui relancent la colère des associations militant pour le bien-être animal. À double titre. D'abord, le volume de manipulations destinées à implanter des anomalies génétiques sur les animaux destinés à des tests a augmenté de 10 % depuis 2008. Une pratique qui, selon les défenseurs des animaux, n'est pas à l'honneur du gouvernement.
Ensuite, selon Barney Reed, scientifique membre de la Société royale pour la prévention contre la cruauté envers les animaux (RSPCA), le nombre total de bêtes (OGM ou non) utilisées en 2009 témoigne du fait que, en Angleterre, depuis la mise en place de la législation sur l'expérimentation animalière il y a plus de 20 ans, le procédé est plus courant aujourd'hui qu'il ne l'a jamais été ces deux dernières décennies.
Malgré la baisse de 1% du nombre de ces expériences, chiffre avancé par le ministère de l'Intérieur qui se dit toujours engagé dans cette voie, les militants pointent du doigt les conditions de stress et de souffrance pour les animaux de laboratoire.








Dans les villages du Bangladesh, le retour de la grande peur des serpents