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Un homme d'affaires américain risque d'être condamné à être flagellé à Singapour pour y avoir séjourné après l'expiration de son visa, a-t-on appris jeudi de sources judiciaires.
S'il est reconnu coupable d'avoir violé les lois sur le séjour des étrangers, Kamari Kenyada Charlton, 37 ans, pourrait devenir le premier Américain à être flagellé dans la ville-Etat depuis 17 ans.
Kamari, né aux Bahamas, a été arrêté à l'aéroport international de Singapour-Changi le 1er septembre alors qu'il s'apprêtait à quitter le pays, a indiqué son avocat, M. Ravi.
"Sans raison valable, vous êtes resté à Singapour durant 169 jours après l'expiration de votre visa", le 15 mars, "commettant ainsi un délit", indique l'acte d'accusation.
Les lois singapouriennes, particulièrement strictes, punissent d'un maximum de six mois de prison et d'un minimum de trois coups dans le dos le séjour illégal de plus de 90 jours.
Kamari, qui gère une société de travaux aux Bahamas, a été emprisonné dans l'attente du jugement.
La justice a rejeté la demande de son avocat de commuer la peine en une amende.
L'ambassade américaine à Singapour a indiqué "suivre avec attention cette affaire" et "avoir accordé une aide consulaire" à son ressortissant.
Le dernier Américain flagellé dans la ville-Etat a été Michael Fay, un adolescent puni pour vandalisme en 1994. Cette affaire avait été fortement médiatisée aux Etats-Unis.
S'il est reconnu coupable d'avoir violé les lois sur le séjour des étrangers, Kamari Kenyada Charlton, 37 ans, pourrait devenir le premier Américain à être flagellé dans la ville-Etat depuis 17 ans.
Kamari, né aux Bahamas, a été arrêté à l'aéroport international de Singapour-Changi le 1er septembre alors qu'il s'apprêtait à quitter le pays, a indiqué son avocat, M. Ravi.
"Sans raison valable, vous êtes resté à Singapour durant 169 jours après l'expiration de votre visa", le 15 mars, "commettant ainsi un délit", indique l'acte d'accusation.
Les lois singapouriennes, particulièrement strictes, punissent d'un maximum de six mois de prison et d'un minimum de trois coups dans le dos le séjour illégal de plus de 90 jours.
Kamari, qui gère une société de travaux aux Bahamas, a été emprisonné dans l'attente du jugement.
La justice a rejeté la demande de son avocat de commuer la peine en une amende.
L'ambassade américaine à Singapour a indiqué "suivre avec attention cette affaire" et "avoir accordé une aide consulaire" à son ressortissant.
Le dernier Américain flagellé dans la ville-Etat a été Michael Fay, un adolescent puni pour vandalisme en 1994. Cette affaire avait été fortement médiatisée aux Etats-Unis.










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