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Les progrès de la taxonomie pourraient permettre de donner un nom à toutes les espèces vivant sur terre d’ici à la fin du siècle...
En 2100, elles auront toutes un nom: selon une étude parue dans la revue Science, il serait possible de nommer toutes les espèces animales avant la fin du siècle. A l’heure actuelle, seulement 1,5 million d’entre elles ont été baptisées alors qu’on estime qu’il existe entre cinq et huit millions d’espèces au total. Et malgré la vitesse croissante à laquelle les espèces disparaissent, les progrès de la taxonomie pourraient permettre aux scientifiques d’aller plus vite que la crise d’extinction.
«Nous croyons qu’avec seulement un modeste effort supplémentaire dans la taxonomie et en conservation, la plupart des espèces pourraient être protégées de l’extinction», déclarent les scientifiques. C’est en partie grâce aux programmes de sciences participatives, qui invitent chacun à faire l’inventaire des espèces qu’il observe près de chez lui, que l’objectif de répertorier tous les êtres vivants d’ici à 2100 pourrait être atteint. Selon le Dr Costello, qui a mené l’étude, la taxonomie connaît aujourd’hui un «âge d’or».
En 2100, elles auront toutes un nom: selon une étude parue dans la revue Science, il serait possible de nommer toutes les espèces animales avant la fin du siècle. A l’heure actuelle, seulement 1,5 million d’entre elles ont été baptisées alors qu’on estime qu’il existe entre cinq et huit millions d’espèces au total. Et malgré la vitesse croissante à laquelle les espèces disparaissent, les progrès de la taxonomie pourraient permettre aux scientifiques d’aller plus vite que la crise d’extinction.
«Nous croyons qu’avec seulement un modeste effort supplémentaire dans la taxonomie et en conservation, la plupart des espèces pourraient être protégées de l’extinction», déclarent les scientifiques. C’est en partie grâce aux programmes de sciences participatives, qui invitent chacun à faire l’inventaire des espèces qu’il observe près de chez lui, que l’objectif de répertorier tous les êtres vivants d’ici à 2100 pourrait être atteint. Selon le Dr Costello, qui a mené l’étude, la taxonomie connaît aujourd’hui un «âge d’or».