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La polémique entourant les bénéfices du soja et les risques qu’il présente en cas de cancer du sein fait rage depuis que plusieurs études se sont opposées sur le sujet.
Si certaines études ont montré le potentiel protecteur de la consommation de soja, la plupart n’a montré aucun lien entre le soja et le cancer du sein. Mais d’autres études ont au contraire montré que le soja pouvait contribuer à la prolifération des tumeurs cancéreuses.
Spécialiste des bienfaits du soja, Dr. Messina de l’université de Loma Linda, Californie, prône le potentiel favorable de cet aliment sur le risque de cancer du sein. Les germes de soja contiennent des isoflavones ou phyto-œstrogènes qui inhiberaient la croissance de certains cancers dépendants ou indépendants des hormones. Pourtant en 2005, l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) publiait un rapport suggérant que les phyto-œstrogènes pourraient favoriser la prolifération et la croissance tumorale chez les femmes ménopausées avec antécédent de cancer du sein. De nombreuses études n’ont cessé de remettre en cause les travaux du Dr. Messina. En 1996 et 1997, deux études ont ainsi montré que la génistéine, principal isoflavonoïde du soja, augmentait le risque de tumeurs malignes du sein. Si le Dr. Messina propose de consommer 230 grammes de soja par jour pour prévenir le cancer, les études suivantes demandent aux femmes de s’abstenir de consommer des produits à base de soja, surtout en cas d’antécédent de cancer du sein.
Si certaines études ont montré le potentiel protecteur de la consommation de soja, la plupart n’a montré aucun lien entre le soja et le cancer du sein. Mais d’autres études ont au contraire montré que le soja pouvait contribuer à la prolifération des tumeurs cancéreuses.
Spécialiste des bienfaits du soja, Dr. Messina de l’université de Loma Linda, Californie, prône le potentiel favorable de cet aliment sur le risque de cancer du sein. Les germes de soja contiennent des isoflavones ou phyto-œstrogènes qui inhiberaient la croissance de certains cancers dépendants ou indépendants des hormones. Pourtant en 2005, l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) publiait un rapport suggérant que les phyto-œstrogènes pourraient favoriser la prolifération et la croissance tumorale chez les femmes ménopausées avec antécédent de cancer du sein. De nombreuses études n’ont cessé de remettre en cause les travaux du Dr. Messina. En 1996 et 1997, deux études ont ainsi montré que la génistéine, principal isoflavonoïde du soja, augmentait le risque de tumeurs malignes du sein. Si le Dr. Messina propose de consommer 230 grammes de soja par jour pour prévenir le cancer, les études suivantes demandent aux femmes de s’abstenir de consommer des produits à base de soja, surtout en cas d’antécédent de cancer du sein.