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Le dialogue social, -c’est un fait-, est un des moteurs de croissance indispensable à la maturité d’une démocratie. Dans tout différend, il ne remet pas en cause les objectifs fixés en commun et surtout, fait cas d’une capacité de coexistence obligée. Mais ça, c’est dans l’idéal et outre les mers et les océans, dans un monde de référence auquel chacun aspire.
Ici-bled, les ‘’Gens du Nord’’ lors des derniers événements de Tanger et environs à la lumière de leurs bougies nous ont éclairés sur ce que pouvait être un Etat-providence. Dès lors que la volonté Royale devint effective, on a vu des chefs à visage découvert se bousculer dans un ‘’comment tu étais et comment que t’es devenu’’ et vas-y que je m’amadoue après avoir été ogre et vas-y que je te propose solutions et d’offrir carotte ‘’instead’’ la bastonnade dans un sus à Amendis, caractérisé, itou itou.
Bref, en espérant un dénouement rapide à l’affaire, qui, déjà, rien qu’à la faveur de la seule intervention Royale, a fait plus de trois quarts du chemin, on la répercutera sur un autre débat, celui de la récupération d’un mouvement d’indignés qui, sous d’autres cieux, n’aurait pas attendu de se gâter, pour ce faire.
Si les Tangérois et autres ont allumé leurs bougies, les acteurs sociaux concernés, eux, ont plutôt brillé par leur absence, laissant à la rue, la délectation du flot d'analyses, verdicts et autres répliques.
Entre nous, et passé sous loupe, on ne peut mieux. Imaginez la cata, si syndicats, partis politiques et autres associations s’étaient immiscés dans ce mouvement civique inédit. Digne et des plus modernes des temps de par une finesse propre à cette région du Royaume et qui de par un capital de sympathie incontestable, l’élan populaire est en train de prouver toute son efficacité devant une situation donnée que ni élus ni commis d’Etat, trop cantonnés dans leur petite personne, n’avaient réussi à démêler auparavant.
Le contrat triangulaire est en voie. Il devrait reconnaître à chacun des droits, mais aussi des devoirs; il suffit d’y mettre du sien et en accepter une part de responsabilités pour la poursuite des consensus de toute une région qu’une politique partisane, de ceux au pouvoir actuellement a failli faire capoter.
Les programmes sociaux pour certaines régions se doivent d’être ambitieux. Ils ne sont ni solubles ni effervescents et ne doivent être pas administrés à tort et à travers. La masse ne s’en tiendra que mieux.
Ici-bled, les ‘’Gens du Nord’’ lors des derniers événements de Tanger et environs à la lumière de leurs bougies nous ont éclairés sur ce que pouvait être un Etat-providence. Dès lors que la volonté Royale devint effective, on a vu des chefs à visage découvert se bousculer dans un ‘’comment tu étais et comment que t’es devenu’’ et vas-y que je m’amadoue après avoir été ogre et vas-y que je te propose solutions et d’offrir carotte ‘’instead’’ la bastonnade dans un sus à Amendis, caractérisé, itou itou.
Bref, en espérant un dénouement rapide à l’affaire, qui, déjà, rien qu’à la faveur de la seule intervention Royale, a fait plus de trois quarts du chemin, on la répercutera sur un autre débat, celui de la récupération d’un mouvement d’indignés qui, sous d’autres cieux, n’aurait pas attendu de se gâter, pour ce faire.
Si les Tangérois et autres ont allumé leurs bougies, les acteurs sociaux concernés, eux, ont plutôt brillé par leur absence, laissant à la rue, la délectation du flot d'analyses, verdicts et autres répliques.
Entre nous, et passé sous loupe, on ne peut mieux. Imaginez la cata, si syndicats, partis politiques et autres associations s’étaient immiscés dans ce mouvement civique inédit. Digne et des plus modernes des temps de par une finesse propre à cette région du Royaume et qui de par un capital de sympathie incontestable, l’élan populaire est en train de prouver toute son efficacité devant une situation donnée que ni élus ni commis d’Etat, trop cantonnés dans leur petite personne, n’avaient réussi à démêler auparavant.
Le contrat triangulaire est en voie. Il devrait reconnaître à chacun des droits, mais aussi des devoirs; il suffit d’y mettre du sien et en accepter une part de responsabilités pour la poursuite des consensus de toute une région qu’une politique partisane, de ceux au pouvoir actuellement a failli faire capoter.
Les programmes sociaux pour certaines régions se doivent d’être ambitieux. Ils ne sont ni solubles ni effervescents et ne doivent être pas administrés à tort et à travers. La masse ne s’en tiendra que mieux.