Autres articles
-
Etre footballeuse avec un bébé n'est plus une rareté
-
La mer Méditerranée a enregistré dimanche une température record pour un mois de juin
-
Des experts américains veulent supprimer des vaccins un composant critiqué par les antivax
-
A Nairobi, des femmes DJ veulent occuper le devant de la scène
-
Japon : Un ours force à l'annulation de vols
Un essai clinique qui concernait 4.000 femme africaines a été abandonné parce qu’il ne rencontrait pas le succès espéré. Cette étude visait à déterminer l’efficacité d’un comprimé pris quotidiennement afin de lutter contre le sida.
L’abandon de cet essai clinique a été annoncé par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), rapporte le site de TV5 Monde. Lancée il y a deux ans, l’étude concernait près de 4.000 femmes hétérosexuelles venues du Kenya, de Tanzanie et d’Afrique du Sud. La moitié de ces femmes s’étaient vu prescrire la prise quotidienne d’un comprimé de Truvada, une combinaison de deux anti-rétroviraux, le tenofovir et l’emtricitabine. Les 2.000 autres ont quant à elles reçu un placebo.
Mais le dernier bilan de l’essai s’est montré peu prometteur. Le même nombre de femmes infectées par le VIH, 28, a été recensé dans chacun des deux groupes. Toutefois, les recherches sur le Truvada vont continuer, assure les CDC. Si les résultats de l’essai n’ont pas été concluants, l’efficacité du comprimé doit encore être déterminée. Il y a quelques mois, le même essai mené auprès d’hommes homosexuels avait conduit à une réduction de 44% des risques d’infection. Un taux qui a atteint 73% chez les hommes qui suivaient le plus sérieusement le traitement.
Les chercheurs qui mènent l’étude vont approfondir leurs analyses afin de comprendre les raisons de cet échec. Ils s’assureront notamment que les participantes à l’essai ont bien pris le comprimé de Truvada régulièrement. En outre, deux autres essais cliniques sont en cours en Afrique afin d’évaluer les effets prophylactiques des anti-rétroviraux. Les conclusions doivent être rendues dans les deux années à venir.
L’abandon de cet essai clinique a été annoncé par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), rapporte le site de TV5 Monde. Lancée il y a deux ans, l’étude concernait près de 4.000 femmes hétérosexuelles venues du Kenya, de Tanzanie et d’Afrique du Sud. La moitié de ces femmes s’étaient vu prescrire la prise quotidienne d’un comprimé de Truvada, une combinaison de deux anti-rétroviraux, le tenofovir et l’emtricitabine. Les 2.000 autres ont quant à elles reçu un placebo.
Mais le dernier bilan de l’essai s’est montré peu prometteur. Le même nombre de femmes infectées par le VIH, 28, a été recensé dans chacun des deux groupes. Toutefois, les recherches sur le Truvada vont continuer, assure les CDC. Si les résultats de l’essai n’ont pas été concluants, l’efficacité du comprimé doit encore être déterminée. Il y a quelques mois, le même essai mené auprès d’hommes homosexuels avait conduit à une réduction de 44% des risques d’infection. Un taux qui a atteint 73% chez les hommes qui suivaient le plus sérieusement le traitement.
Les chercheurs qui mènent l’étude vont approfondir leurs analyses afin de comprendre les raisons de cet échec. Ils s’assureront notamment que les participantes à l’essai ont bien pris le comprimé de Truvada régulièrement. En outre, deux autres essais cliniques sont en cours en Afrique afin d’évaluer les effets prophylactiques des anti-rétroviraux. Les conclusions doivent être rendues dans les deux années à venir.