Autres articles
-
L'Obélisque de Buenos Aires doté d'un ascenseur
-
Les 10% les plus riches responsables de deux tiers du réchauffement climatique
-
L'iboga, plante sacrée au Gabon et remède ancestral convoité
-
A la frontière indo-pakistanaise, la bataille du chapardage des pigeons
-
Découverte d’une molécule qui désarme les bactéries
Avoir un bras engourdi à cause d’une mauvaise position est tout à fait banal, mais lorsque cette gêne se prolonge ou qu’elle est douloureuse, elle peut cacher une maladie neurologique.
Combien de fois un picotement dans le bras ou dans la jambe vous a réveillé d’une sieste ? Une mauvaise position prolongée peut compresser un nerf ou un vaisseau sanguin et empêcher l’irrigation du membre, provoquant cette sensation de fourmis. En le touchant, on a l’impression de caresser du coton. Notre premier réflexe est alors d’agiter le bras ou la jambe pour relancer la circulation. Ce phénomène a un nom : la paresthésie. En principe, elle n’est pas douloureuse mais simplement désagréable.
Quand notre peau rentre en contact avec une surface, les nerfs envoient des informations au cerveau pour lui signaler la texture et la température de cette surface. En réponse à cette réaction, nous ressentons donc la sensation tactile qui correspond à la matière que nous avons sous la main. Or, quand cette information est perturbée alors que la peau n’a subi aucune modification, les fourmillements apparaissent. Lorsque la circulation sanguine est rétablie, la sensation désagréable disparaît.
En revanche, si la paresthésie se prolonge, si elle revient trop souvent ou qu’elle est accompagnée d’autres symptômes comme la douleur ou une faiblesse musculaire, elle peut cacher une maladie. Elle est parfois liée à des anomalies du système nerveux central ou périphérique et peut affecter la transmission entre les nerfs et le cerveau. Il est donc essentiel de consulter un médecin afin qu’il établisse un diagnostic précis et qu’il fasse la différence entre une paresthésie ponctuelle pas dangereuse ou des problèmes plus sérieux.
Combien de fois un picotement dans le bras ou dans la jambe vous a réveillé d’une sieste ? Une mauvaise position prolongée peut compresser un nerf ou un vaisseau sanguin et empêcher l’irrigation du membre, provoquant cette sensation de fourmis. En le touchant, on a l’impression de caresser du coton. Notre premier réflexe est alors d’agiter le bras ou la jambe pour relancer la circulation. Ce phénomène a un nom : la paresthésie. En principe, elle n’est pas douloureuse mais simplement désagréable.
Quand notre peau rentre en contact avec une surface, les nerfs envoient des informations au cerveau pour lui signaler la texture et la température de cette surface. En réponse à cette réaction, nous ressentons donc la sensation tactile qui correspond à la matière que nous avons sous la main. Or, quand cette information est perturbée alors que la peau n’a subi aucune modification, les fourmillements apparaissent. Lorsque la circulation sanguine est rétablie, la sensation désagréable disparaît.
En revanche, si la paresthésie se prolonge, si elle revient trop souvent ou qu’elle est accompagnée d’autres symptômes comme la douleur ou une faiblesse musculaire, elle peut cacher une maladie. Elle est parfois liée à des anomalies du système nerveux central ou périphérique et peut affecter la transmission entre les nerfs et le cerveau. Il est donc essentiel de consulter un médecin afin qu’il établisse un diagnostic précis et qu’il fasse la différence entre une paresthésie ponctuelle pas dangereuse ou des problèmes plus sérieux.