Autres articles
-
Malgré les tensions géopolitiques, l'IA chinoise à bas coût fait son trou
-
Les cabines de bronzage triplent le risque de mélanome
-
Pas de lien entre les vaccins et l'autisme
-
La pratique du sport à l'enfance réduit les comportements défiants
-
Quelle est la durée de vie d'une puce IA, la question à plusieurs centaines de milliards
Quatre ailes transparentes et un long corps fin: RoboBee X-Wing, un insecte robot, a réussi à voler (un peu) grâce à un petit panneau solaire intégré, une première pour un objet si petit.
"Le petit robot mesure moins de cinq centimètres de long et ne pèse que 259 milligrammes", selon une étude publiée cette semaine dans la revue Nature.
La petite taille de RoboBee pourrait lui permettre de s'aventurer dans des espaces confinés ou de faire de la surveillance environnementale.
Si jamais le mini-robot n'avait encore réussi à s'arracher du sol jusqu'ici, c'est que décoller demande beaucoup de puissance, encore plus si on est petit, précisent les chercheurs dans l'étude.
Les sources d'énergie disponibles dans le commerce, telles que les puissantes batteries lithium-ion, peuvent peser jusqu'à plusieurs fois le poids de ces insectes robots, les empêchant de prendre leur envol. Ils devaient donc jusqu'à maintenant être raccordés à une source d'énergie externe. Et dans ce cas, c'est le câble d'alimentation qui pose problème.
Des chercheurs de l'université d'Harvard aux Etats-Unis ont réussi à contourner ces obstacles en équipant leur RoboBee d'un générateur photovoltaïque et de quatre ailes (deux étant insuffisantes).
Si le vol de RoboBee, en toute autonomie est une première, il ne va pas tout de suite partir en voyage. "Des améliorations supplémentaires sont nécessaires pour permettre un vol continu en plein air", notent les auteurs de l'étude.
Le vol d'essai n'a en effet duré qu'une demi-seconde et nécessite "une lumière intense pour générer suffisamment de puissance pour décoller, plus de trois fois l'intensité du soleil".
"Le petit robot mesure moins de cinq centimètres de long et ne pèse que 259 milligrammes", selon une étude publiée cette semaine dans la revue Nature.
La petite taille de RoboBee pourrait lui permettre de s'aventurer dans des espaces confinés ou de faire de la surveillance environnementale.
Si jamais le mini-robot n'avait encore réussi à s'arracher du sol jusqu'ici, c'est que décoller demande beaucoup de puissance, encore plus si on est petit, précisent les chercheurs dans l'étude.
Les sources d'énergie disponibles dans le commerce, telles que les puissantes batteries lithium-ion, peuvent peser jusqu'à plusieurs fois le poids de ces insectes robots, les empêchant de prendre leur envol. Ils devaient donc jusqu'à maintenant être raccordés à une source d'énergie externe. Et dans ce cas, c'est le câble d'alimentation qui pose problème.
Des chercheurs de l'université d'Harvard aux Etats-Unis ont réussi à contourner ces obstacles en équipant leur RoboBee d'un générateur photovoltaïque et de quatre ailes (deux étant insuffisantes).
Si le vol de RoboBee, en toute autonomie est une première, il ne va pas tout de suite partir en voyage. "Des améliorations supplémentaires sont nécessaires pour permettre un vol continu en plein air", notent les auteurs de l'étude.
Le vol d'essai n'a en effet duré qu'une demi-seconde et nécessite "une lumière intense pour générer suffisamment de puissance pour décoller, plus de trois fois l'intensité du soleil".











Malgré les tensions géopolitiques, l'IA chinoise à bas coût fait son trou
