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Il n’y aura «pas de ligne rouge lors de la réunion», nous a assuré une source de la coalition qui a requis l’anonymat. Et de préciser que toutes les discordes vont être dissipées au cours de cette réunion à laquelle devaient assister les secrétaires généraux des partis de la majorité dont chacun devait être accompagné de deux autres dirigeants de son parti. A titre d’exemple, le PPS serait représenté par Nabil Benabdellah, secrétaire général du parti, Amine Sbihi et Abdelouahed El Fassi.
«Tous les thèmes devraient être discutés y compris la question du remaniement ministériel qui pourrait être évoquée par Hamid Chabat», assure notre source.
En décembre, rappelle-t-on, ce dernier, à peine élu à la tête de son parti, avait adressé un mémorandum au chef du gouvernement dans lequel il avait demandé un remaniement ministériel.
Au lieu de répondre aux requêtes continuelles du PI, Benkirane a préféré faire la sourde oreille, ce qui a entraîné l’Exécutif dans de nombreuses querelles intestines alors qu’il avait à peine soufflé sa première bougie. Soucieux de préserver l’unité et la cohésion du gouvernement, deux partis de la coalition dont le PPS, ont pris l’initiative de conduire une médiation entre le PJD et le PI, tout en espérant que la réunion de vendredi pourrait sauver la majorité au bord de l’abîme.
Outre la question du remaniement ministériel, la réunion de vendredi est censée également discuter de la Charte de la majorité signée en 2011 en perspective de son remaniement.
Nabil Benabdellah a déclaré, à ce propos, à la MAP que «cette réunion traitera des principaux dossiers et des questions de nature à atténuer les tensions entre certaines composantes de la majorité» et des «propositions susceptibles de renforcer la cohésion gouvernementale et de développer son action, en unifiant les vues et en évitant les sorties médiatiques unilatérales et imprévoyantes à même de nuire à l’action du gouvernement».







