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Déjà dans le bureau ovale, qu’il occupe de 1977 à 1981, Jimmy Carter est un homme de paix : les premiers accords de Camp David entre l’Égypte et Israël, qui donnent un peu d’air aux relations au Proche-Orient, la sortie du canal de Panama du giron états-unien, les accords de désarmement avec l’URSS Salt II, même s’il bute sur l’Afghanistan ou la crise des otages en Iran.
Une présidence humaine qui tranche avec ses prédécesseurs et son suiveur, le cow-boy Ronald Reagan.
Aussi, quand il est sorti par l’ancien acteur de la Maison Blanche, Carter s’engage un peu plus loin pour la paix à travers sa fondation, intelligemment baptisé le Carter Center, dont le but affiché est de « faire la paix, combattre la maladie et construire l’espoir». Tout un programme, mais avec, à la clef, un prix Nobel de la paix en 2002 et l'éradication quasi-complète de la dracunculose, maladie parasitaire qui ravageait l'Afrique il y a 30 ans. Carter, président de la paix !
Une présidence humaine qui tranche avec ses prédécesseurs et son suiveur, le cow-boy Ronald Reagan.
Aussi, quand il est sorti par l’ancien acteur de la Maison Blanche, Carter s’engage un peu plus loin pour la paix à travers sa fondation, intelligemment baptisé le Carter Center, dont le but affiché est de « faire la paix, combattre la maladie et construire l’espoir». Tout un programme, mais avec, à la clef, un prix Nobel de la paix en 2002 et l'éradication quasi-complète de la dracunculose, maladie parasitaire qui ravageait l'Afrique il y a 30 ans. Carter, président de la paix !