
-
Le dirham s'apprécie face au dollar
-
Le Maroc obtient la reconnaissance officielle de l’Administration nationale américaine des océans et de l’atmosphère
-
Baisse des débarquements de pêche aux ports de Dakhla et de Nador
-
Khalid Amrouch : La participation marocaine à la Conférence "Mauritanides" témoigne de la volonté du Royaume de renforcer la coopération Sud-Sud avec la Mauritanie
-
GPC Papier et Carton : 500 MDH pour transformer le site de Mohammedia en hub industriel innovant
Cette mission, conduite par le directeur général adjoint du Patrimoine de l'Etat et des investissements privés, Lancine Kakoro, accompagné de cadres responsables, s'inscrit dans la continuité des échanges précédemment entamés avec d'autres pays frères du continent, en particulier le Gabon et la République Démocratique du Congo, indique un communiqué de l'ANGSPE.
Elle illustre en effet l'intérêt croissant pour l'expérience marocaine en matière de gestion stratégique des participations de l'État, ajoute la même source.
Présidée par le DG de l'ANGSPE, Abdellatif Zaghnoun, la rencontre a permis d'instaurer un dialogue structuré autour de plusieurs thématiques clés, notamment l'état d'avancement de la réforme du secteur des EEP au Maroc en collaboration avec le ministère de l'Économie et des Finances, ainsi que la politique actionnariale l'Etat et les principes qui la sous-tendent, rapporte la MAP.
Il s'agit également de la promotion des bonnes pratiques de gouvernance dans les EEP inclus dans le périmètre de l'ANGSPE et l'avancement, de façon plus générale, du chantier structurant de la gouvernance, en plus de la mise en œuvre progressive d'une démarche RSE adaptée aux spécificités du secteur des EEP.
Des échanges techniques ont été animés par les responsables métiers de l'ANGSPE. Ces discussions ont notamment porté sur les cadres méthodologiques et les processus déployés par l'Agence pour structurer la gestion des participations de l'Etat.
La rencontre a, de plus, été l'occasion de rappeler, de part et d'autre, la volonté partagée de renforcer les capacités institutionnelles des entités en charge du portefeuille public.