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Ses propos accordés à un journal de la place dans lesquels il affirme que les ponts de communication entre lui et les conseillers du Roi sont presque inexistants, ont, bel et bien, ranimé le volcan qu’on croyait éteint. Il avait beau camoufler ses rapports conflictuels avec l’entourage Royal par des déclarations de bonne volonté et de bonne intention. En vain. La situation ne s’est pas améliorée.
Avec ses adversaires, voire ses ennemis d’hier, il voulait la paix. Ses menaces itératives faisant savoir à qui voulait l’entendre que le « Printemps arabe » n’est pas encore à sa fin, n’avaient qu’un sens politique. Une réplique à ceux-là qu’il appelle même les poches de résistance. Dans son bras de fer, il vient de perdre une manche majeure. Le match n’est qu’à ses débuts, plusieurs surprises sont à prévoir. A suivre …