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Dans le cadre du travail, deux fléaux semblent se généraliser dans notre société moderne : la procrastination, ce syndrome insidieux qui nous pousse à repousser nos durs labeurs au lendemain, puis au sur-lendemain, ou bien au contraire l’immersion à 200% dans notre travail, implication professionnelle salutaire et pourtant... contre-productive. Car à trop se consacrer à son taf, on perd le nord. D’où l’importance de ponctuer sa vie au bureau de respirations revigorantes, pour ne pas dire de bouffées d’air frais bienvenues. Des pauses bien plus primordiales que l’on ne pourrait le croire, et ce pour des raisons qui ont trait à la santé mentale comme à la santé physique. En ce sens, nombreuses sont les paroles expertes à nous recommander de déserter notre bureau au moins trois fois par heure. Un décollage qui n’aurait que du bon.
Et que vous feriez bien d’appliquer cinq jours sur sept. On vous explique pourquoi. Parce que c’est bon pour le moral, et pour la santé mentale. Explications du médecin Zoe Williams interrogée par Stylist : “Rester immobile trop longtemps peut faire subir à notre corps un état d’inflammation, dont les effets sont également importants sur notre cerveau”. Santés physique et cérébrale sont donc toutes deux concernées.
Selon l’experte, ces incidences peuvent affecter notre humeur, mais aussi augmenter les risques d’anxiété et de dépression, en plein taf, et plus encore dans les heures qui suivront nos horaires de travail. Un “après-coup” déplorable. Et c’est pour ces raisons précises que la professionnelle de la santé recommande fortement de bouger toutes les 20 minutes, c’est-à-dire de s’éloigner de son bureau trois fois par heure. Un sacré débit à respecter s’il en est. Mais notre santé mentale mérite bien cette régularité de gymnaste, qui comme l’énonce la spécialiste peut prendre plusieurs formes. Ses favorites ? Monter des marches, délaisser l’ascenseur, se déplacer au sein de ses locaux. Autant de petites choses qui engendrent déjà “tout un changement métabolique favorable”. Mais surtout, surtout, ne jamais rester statique neuf heures par jour. Mais que faire au juste quand l’on souhaite respecter cette rythmique singulière ? S’adonner à quelques étirements par exemple. Etirements et déplacements divers à l’intérieur d’un lieu peuvent tout à fait engendrer le même effet énergisant qu’une bonne promenade dehors. Idéal pour booster quelque peu votre cerveau, votre souffle ou vos muscles. Et si repenser notre rapport au travail exigeait de faire de l’exercice ? Une alternative quelque peu sportive. Rassurez-vous cependant, pas besoin d’être accro aux gyms amatrices du dimanche pour se changer les idées. Vous pouvez également tester les bienfaits de la micro-sieste de quinze minutes dans des lieux extérieurs à votre bureau. Paradoxalement, les incidences de ces sommeils express pourraient être tout aussi ressourçant.
Et que vous feriez bien d’appliquer cinq jours sur sept. On vous explique pourquoi. Parce que c’est bon pour le moral, et pour la santé mentale. Explications du médecin Zoe Williams interrogée par Stylist : “Rester immobile trop longtemps peut faire subir à notre corps un état d’inflammation, dont les effets sont également importants sur notre cerveau”. Santés physique et cérébrale sont donc toutes deux concernées.
Selon l’experte, ces incidences peuvent affecter notre humeur, mais aussi augmenter les risques d’anxiété et de dépression, en plein taf, et plus encore dans les heures qui suivront nos horaires de travail. Un “après-coup” déplorable. Et c’est pour ces raisons précises que la professionnelle de la santé recommande fortement de bouger toutes les 20 minutes, c’est-à-dire de s’éloigner de son bureau trois fois par heure. Un sacré débit à respecter s’il en est. Mais notre santé mentale mérite bien cette régularité de gymnaste, qui comme l’énonce la spécialiste peut prendre plusieurs formes. Ses favorites ? Monter des marches, délaisser l’ascenseur, se déplacer au sein de ses locaux. Autant de petites choses qui engendrent déjà “tout un changement métabolique favorable”. Mais surtout, surtout, ne jamais rester statique neuf heures par jour. Mais que faire au juste quand l’on souhaite respecter cette rythmique singulière ? S’adonner à quelques étirements par exemple. Etirements et déplacements divers à l’intérieur d’un lieu peuvent tout à fait engendrer le même effet énergisant qu’une bonne promenade dehors. Idéal pour booster quelque peu votre cerveau, votre souffle ou vos muscles. Et si repenser notre rapport au travail exigeait de faire de l’exercice ? Une alternative quelque peu sportive. Rassurez-vous cependant, pas besoin d’être accro aux gyms amatrices du dimanche pour se changer les idées. Vous pouvez également tester les bienfaits de la micro-sieste de quinze minutes dans des lieux extérieurs à votre bureau. Paradoxalement, les incidences de ces sommeils express pourraient être tout aussi ressourçant.