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Le "Réseau femmes solidaires" indique, dans un appel rendu public à l'issue d'une réunion tenue mardi à Fès à l'occasion de la Journée internationale des droits de l'Homme, que cette loi est à même de constituer un mécanisme "efficace" dans la prévention de la violence à l'égard des femmes, outre sa contribution à la sensibilisation et l'éducation à l'égalité et le rejet de la violence et la discrimination contre les femmes.
Pour ces associations, l'atteinte de ces objectifs passe nécessairement par la mise en place "rapide" de l'Autorité pour la parité et la lutte contre toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes, ainsi que par la coordination entre cette instance indépendante, les associations impliquées dans la lutte contre la violence et les institutions chargées de la promotion de la bonne gouvernance.
Elles ont également dénoncé les crimes de viols et de séquestrations commis par un grand malfaiteur, qui a été arrêté la semaine dernière à Sidi Harazem, dans la préfecture de Fès, appelant à une enquête approfondie pour élucider l'ensemble des accusations portées contre ce criminel.
Le collectif a annoncé dans ce cadre la mise sur pied d'un comité régional pour assurer le suivi de ce dossier et apporter le soutien juridique et psychologique aux victimes, et exhorté toutes les associations féminines et les organisations de défense des droits de l'Homme à mettre en place une coalition nationale "forte" en vue de faire pression pour la promulgation de la loi-cadre contre la violence à l'égard des femmes .