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Selon la presse algérienne, le prévenu âgé de 28 ans qui était poursuivi pour son “appartenance à un groupe terroriste armé actif à l’intérieur et à l’extérieur du pays”, a reconnu les faits qui lui étaient reprochés, notamment d’avoir fabriqué, à la demande du GSPC, un détonateur à distance prévu pour être utilisé dans un attentat en Algérie. Il a été arrêté le 25 décembre 2005 dans un hôtel à Alger-centre, deux jours après son arrivée à Alger, par les services de sécurité algériens.
Le Soir d’Algérie a rapporté dans son édition d’hier que les investigations menées par la PJ, suite à des informations qui lui sont parvenues ont permis d’établir un lien entre Akil Chraïbi, étudiant en technologie à Montpellier en France, cinquième année, et un groupe terroriste actif dans la région de Boumerdès. Il a également écrit que Chraïbi avait envoyé 1.000 euros à des contacts en Syrie pour le soutien de la résistance en Irak.
Selon la même source, au moment de son arrestation, le prévenu avait en sa possession un ordinateur portable, une clef USB et des cartes des frontières algéro- marocaines.
Selon l’accusation, l’affaire remonte aux années 2003-2005 lorsque le prévenu, alors étudiant en électronique en France, était en contact avec le GSPC, via un site Internet islamiste.
Par ailleurs, l’AFP a rapporté que le mis en cause avait envoyé, via Internet, une copie d’un plan baptisé “plan Fatima”, dont il était l’auteur, à l’émir (chef) du GSPC, qui s’est rallié en septembre 2006 au réseau terroriste Al-Qaïda rebaptisé depuis Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi)
Ce plan, a poursuivi l’AFP, consistait à ouvrir et à sécuriser le passage aux éléments des groupes terroristes algériens et marocains entre Bechar et le Maroc, à la frontière entre les deux pays, selon l’APS.
Fils d’un médecin marocain ayant lui-même étudié à Montpellier, Akil Chraïbi était venu dans l’Hérault pour étudier l’électronique et l’informatique ; ce boursier logeait à la cité universitaire.