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Les autorités chinoises entendent respecter la décision de Google à savoir quitter, ou non, l'empire du milieu. Mais le filtrage sur le net reste le principal sujet de préoccupation de Pékin.
Les négociations se poursuivent entre Google et la Chine. Toujours échaudée par les attaques virtuelles dont elle a été victime, la firme américaine hésite encore : quittera-t-elle ou non l'empire du milieu ? Pour l'instant, le point sensible reste encore la question du filtrage sur le net. Google entend en effet lever toute censure, une initiative qui va à l'encontre de la loi chinoise, laquelle se révèle particulièrement frileuse envers les sites politiques et pornographiques. "Nous avons une politique de longue date d'ouverture aux investissements étrangers. Mais la condition préalable est qu'ils respectent les lois chinoises", a déclaré le porte-parole du ministère du Commerce Yao Jian. "Nous espérons que Google respectera la loi, qu'il choisisse ou non de poursuivre ses activités en Chine". Un retrait de Google ne gênerait pas outre-mesure les autorités chinoises. Cependant, le fait que le géant du net veuille faire disparaître toute censure, même en cas de départ, suscite des craintes dans les rangs asiatiques.
"En arrivant sur le marché chinois, en 2007, il a clairement indiqué qu'il respecterait la législation chinoise, poursuit Yao Jian. Même s'il se retire, il doit se conformer à la loi et gérer les dossiers en suspens de la même manière".
Les négociations se poursuivent entre Google et la Chine. Toujours échaudée par les attaques virtuelles dont elle a été victime, la firme américaine hésite encore : quittera-t-elle ou non l'empire du milieu ? Pour l'instant, le point sensible reste encore la question du filtrage sur le net. Google entend en effet lever toute censure, une initiative qui va à l'encontre de la loi chinoise, laquelle se révèle particulièrement frileuse envers les sites politiques et pornographiques. "Nous avons une politique de longue date d'ouverture aux investissements étrangers. Mais la condition préalable est qu'ils respectent les lois chinoises", a déclaré le porte-parole du ministère du Commerce Yao Jian. "Nous espérons que Google respectera la loi, qu'il choisisse ou non de poursuivre ses activités en Chine". Un retrait de Google ne gênerait pas outre-mesure les autorités chinoises. Cependant, le fait que le géant du net veuille faire disparaître toute censure, même en cas de départ, suscite des craintes dans les rangs asiatiques.
"En arrivant sur le marché chinois, en 2007, il a clairement indiqué qu'il respecterait la législation chinoise, poursuit Yao Jian. Même s'il se retire, il doit se conformer à la loi et gérer les dossiers en suspens de la même manière".