Autres articles
-
Des scientifiques découvrent un taux important de changement de sexe chez certains oiseaux
-
Au Japon, McDonald's présente ses excuses pour le fiasco de sa campagne Pokémon
-
Contre la chaleur, un musée met de la couleur en Autriche
-
A Washington, des habitants lassés par la criminalité que Trump veut combattre
-
En Indonésie, des ouvriers font du bodybuilding pour sauver l'industrie de la tuile
Les équipes médicales de la NASA ont observé chez certains astronautes de retour de mission des déformations au niveau de leurs globes oculaires et de leurs nerfs optiques. Ceci pourrait être due à une hypertension intra-cranienne causée à la longue par la microgravité.
La découverte pourrait sérieusement compromettre l’avenir des missions spatiales de longue durée. En effet, si cela fait maintenant longtemps que des spationautes sont envoyés dans des engins en orbite autour de la Terre, les agences spatiales et notamment la NASA continuent de surveiller étroitement leur santé. Avant, pendant et après les missions, les spationautes doivent ainsi se soumettre à de très nombreux tests permettant d’évaluer leur forme physique. C’est de cette manière que les équipes médicales ont découvert que de longues séjours spatiaux pouvaient avoir de sérieux effets sur la vue.
Ce sont des scanners du cerveau réalisés sur 27 astronautes qui revenaient de longues missions spatiales qui ont révélé le phénomène. Selon les résultats publiés dans la revue Radiology, les médecins ont constaté que les hommes présentaient des déformations inexpliquées au niveau des globes oculaires, des nerfs optiques et de l’hypophyse. Plus concrètement, ceux-ci ont montré des aplatissements à l’arrière de l’un voire des deux yeux. Un changement qui a pour conséquence de modifier la vue. En poussant les recherches, les équipes médicales des agences spatiales ont alors noté que les astronautes qui avaient séjourné dans la Station spatiale internationale (ISS) rapportaient effectivement des changements dans leur vue. Certains voyaient mieux, quand d’autres avaient davantage de difficultés.
La découverte pourrait sérieusement compromettre l’avenir des missions spatiales de longue durée. En effet, si cela fait maintenant longtemps que des spationautes sont envoyés dans des engins en orbite autour de la Terre, les agences spatiales et notamment la NASA continuent de surveiller étroitement leur santé. Avant, pendant et après les missions, les spationautes doivent ainsi se soumettre à de très nombreux tests permettant d’évaluer leur forme physique. C’est de cette manière que les équipes médicales ont découvert que de longues séjours spatiaux pouvaient avoir de sérieux effets sur la vue.
Ce sont des scanners du cerveau réalisés sur 27 astronautes qui revenaient de longues missions spatiales qui ont révélé le phénomène. Selon les résultats publiés dans la revue Radiology, les médecins ont constaté que les hommes présentaient des déformations inexpliquées au niveau des globes oculaires, des nerfs optiques et de l’hypophyse. Plus concrètement, ceux-ci ont montré des aplatissements à l’arrière de l’un voire des deux yeux. Un changement qui a pour conséquence de modifier la vue. En poussant les recherches, les équipes médicales des agences spatiales ont alors noté que les astronautes qui avaient séjourné dans la Station spatiale internationale (ISS) rapportaient effectivement des changements dans leur vue. Certains voyaient mieux, quand d’autres avaient davantage de difficultés.