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Les données recueillies ont montré que 48% des ménages achetaient des volumes moyens à élevés de boissons sucrées, et 16% des ménages achetaient des volumes élevés de boissons allégées.
Les autres ménages achetaient principalement des jus de fruits, de l'eau ou des boissons alcoolisées telles que la bière ou le vin. Les ménages achetant de grandes quantités de boissons sucrées ou allégées étaient plus susceptibles d'avoir un statut socioéconomique faible, un indice de masse corporelle (IMC) plus élevé et, globalement,faisaient des achats alimentaires moins sains, caractérisés par une forte proportion d'énergie obtenue à partir de collations sucrées – environ 18%.
«Ces ménages (qui achètent beaucoup de boissons gazeuses) pourraient bénéficier de politiques ciblant les en-cas sucrés, afin de réduire l'apport énergétique excédentaire et de contribuer à réduire les inégalités socioéconomiques – par exemple, en étendant aux en cas sucrésla taxe que le Trésor britannique impose à l'industrie des boissons sucrées», a préconisé l'auteur principal de l’étude, le Dr Nicolas Berger.