-
Rupture du soutien aux familles nécessiteuses de Zagora, menaces sanitaires résultant de la prolifération des marécages et des décharges clandestines à Al Oulfa et situation des enseignants suspendus
-
Saint-Christophe-et-Niévès réitère sa position constante en faveur de la souveraineté du Maroc sur son Sahara et de son intégrité territoriale
-
Omar Hilale met à nu les violations des droits de l’Homme endurées par les populations vivant dans les camps de Tindouf
-
Coup d'envoi à Rabat de la 33ème session de la Conférence régionale de la FAO pour l'Afrique
-
Célébration du 77ème anniversaire de la visite historique de feu SM Mohammed V à Tanger
Cette rencontre réunira Mohamed Sajid, Maire du Conseil de la ville de Casablanca, Kamal Daissaoui, usfpéiste, membre élu du Conseil de la ville, Mahjoub Al Haiba, professeur universitaire, et Aziz Kerraki, professeur de Sciences politiques, Université Mohammed V de Rabat.
Les organisateurs estiment que les nouveaux amendements de la charte communale 2002 intervenus en 2009 donnent aux communes de plus larges prérogatives d’organisation et de gestion des services publics, allant essentiellement dans le sens de l’allègement de la tutelle a priori et ouvrant des perspectives plus larges de coopération intercommunale.
Le 12 juin 2009, les urnes décideront des représentants au sein des conseils communaux renouvelés. Les électeurs auront à se prononcer sur des bilans et sur de nouvelles propositions de programmes. Des questions importantes sont dès lors à l’ordre du jour, en rapport notamment avec les résultats effectifs des politiques de la ville, l’évaluation de l’unité de la ville introduite en 2003 dans six métropoles du Royaume, la compétitivité des villes ainsi que les modes de gestion des services publics et leur contribution au progrès réel.
Les organisateurs se demandent, par ailleurs, si l’introduction d’un seuil minimum de 12% pour une participation plus significative des femmes à la gestion des collectivités sera dépassé pour ne pas cantonner les femmes dans les seules listes complémentaires. Ils s’interrogent aussi sur ces changements promis ou annoncés : vont-ils être à la hauteur des enjeux d’une gestion rationnelle et transparente et du défi pour l’accès équitable aux fonctions de représentativité et de pouvoir pour hommes et femmes ?