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On dort suffisamment
On le sait, le manque de sommeil influe négativement sur le poids, notamment via le biais d’hormones (la leptine et la ghréline tout particulièrement, qui influent sur l’appétit et la satiété) : certaines études évaluent les conséquences du manque de sommeil à un bonus de 300 calories par jour, d’autant que l’appétence pour le gras et le sucré est augmentée. Récemment, il a été montré que cette prise de poids concernait tout particulièrement les graisses corporelles : une étude américaine, menée sur 330 femmes et publiée fin 2013, a ainsi prouvé que celles qui avaient un sommeil réparateur et suffisant (entre 8h et 8h30) ainsi que des horaires réguliers de lever et de coucher, présentaient un taux de graisses corporelles bien inférieur à celles qui dormaient moins de 6h30, et avaient des nuits de moindre qualité.
On chouchoute sa flore intestinale
Composée de bactéries vivant en équilibre, cette grande inconnue, dont on commence tout juste à élucider le rôle essentiel, est vraisemblablement au cœur de tout notre réseau de santé.
«Concernant le poids, on sait par exemple que certaines personnes ont une flore particulièrement efficace pour «épargner» (comprendre stocker), et que certaines bactéries sont quasiment des marqueurs de la prise de poids.
Nul doute que, dans les années à venir, les pistes de traitement de l’obésité ou de l’embonpoint passeront par celui de cette flore intestinale que l’on parviendra à mieux décrypter... », explique le Dr Allouche. En attendant, on peut la bichonner au quotidien en prenant chaque matin de l’inuline, une fibre soluble végétale qui réduit l’inflammation de l’intestin grêle. Compter 12 g par jour ». On la trouve en parapharmacies.
On entretient sa masse musculaire
Elle consomme naturellement plus d’énergie que la masse graisseuse, et donc, plus elle est importante, plus le corps brûle de calories, même au repos ! Hors de question donc de la perdre, d’autant que quand elle fond, on risque toujours de ne la remplacer que par du gras. L’idéal ? Continuer de bouger et de favoriser la lipolyse par un travail à la fois d’endurance et d’accélérations répétées bénéfiques.
Le rythme de 2 fois par semaine est parfait si on le tient régulièrement. En prime, on s’offre un podomètre pour calculer le nombre de pas que l’on fait par jour : une excellente méthode pour assurer le strict «minimum syndical» (10000 pas par jour), voire ... se dépasser, juste pour le challenge ! Un gadget amusant mais bien utile, auquel on devient vite accro... On peut également se mettre en douceur à la musculation (sans excès), efficace et qui, en outre, protège également la masse osseuse, ce qui est utile au féminin en prévention de l’ostéoporose.
On s’offre un peu
de palper-rouler
Qu’il soit manuel ou réalisé par des appareils type Cellu M6, le principe de ce massage très particulier est d’écraser les adipocytes pour leur faire larguer leurs graisses stockées. Et ça marche. « Celles-ci rejoignent ensuite la circulation sanguine, puis le foie afin qu’il les élimine mais... il lui faut du temps et mieux vaut ne pas le surcharger en recommençant trop vite sinon, il ne suffit pas à la tâche, explique le Dr Allouche. On s’offre donc, si on le souhaite, de telles séquences (manuelles ou machine), mais au rythme d’une séance par mois, ce qui est largement suffisant pour s’entretenir».
Topsanté.com