Autres articles
-
Voitures électriques : Les marques allemandes conservent la confiance des acheteurs à l’étranger
-
Les plages de carte postale, le poison qui tue la côte croate à petit feu
-
La lutte Kusthi : Sport roi en Inde et vivier d'athlètes olympiques
-
Au Royaume-Uni, le printemps le plus ensoleillé jamais enregistré
-
Plus de 170 épisodes et des dizaines d'erreurs : Trois docteurs croates auscultent Dr House
L'obésité augmente et pas seulement chez les humains. Elle touche aussi les chiens, sujet d'étude idéal pour les chercheurs qui peuvent mieux isoler les causes génétiques de l'embonpoint canin de celles liées à leur mode de vie.
Dans une étude publiée jeudi par Science, des scientifiques ont identifié un gène étroitement lié à l'obésité canine et découvert qu'il est également associé à la prise de poids chez les humains.
"L'attitude qui domine concernant l'obésité, c'est que les gens n'arrivent pas à contrôler ce qu'ils mangent alors que nos données montrent que les individus à haut risque doivent faire plus d'efforts pour rester minces", explique à l'AFP Eleanor Raffan, chercheuse au département de physiologie, développement et neurosciences de l'Université de Cambridge.
Les chercheurs se sont penchés sur le cas des labradors retrievers.
"Tous ceux qui connaissent les chiens comprendront que commencer avec les labradors est une bonne idée car ils sont sujets à l'obésité", dit Mme Raffan, qui est également vétérinaire. "Ils ont la réputation d'être obsédés par la nourriture".
L'équipe a recueilli la bave de 241 chiens et a mené une étude d'association à l'échelle du génome, qui examine l'ensemble des gènes d'un organisme pour identifier les zones liées à un trait spécifique.
Les cinq gènes les plus importants sont également présents chez l'homme, le plus influent étant le DENND1B.
Les scientifiques ont aussi mesuré à quel point les chiens harcelaient leurs maîtres pour manger ou s'ils faisaient la fine bouche
Dans une étude publiée jeudi par Science, des scientifiques ont identifié un gène étroitement lié à l'obésité canine et découvert qu'il est également associé à la prise de poids chez les humains.
"L'attitude qui domine concernant l'obésité, c'est que les gens n'arrivent pas à contrôler ce qu'ils mangent alors que nos données montrent que les individus à haut risque doivent faire plus d'efforts pour rester minces", explique à l'AFP Eleanor Raffan, chercheuse au département de physiologie, développement et neurosciences de l'Université de Cambridge.
Les chercheurs se sont penchés sur le cas des labradors retrievers.
"Tous ceux qui connaissent les chiens comprendront que commencer avec les labradors est une bonne idée car ils sont sujets à l'obésité", dit Mme Raffan, qui est également vétérinaire. "Ils ont la réputation d'être obsédés par la nourriture".
L'équipe a recueilli la bave de 241 chiens et a mené une étude d'association à l'échelle du génome, qui examine l'ensemble des gènes d'un organisme pour identifier les zones liées à un trait spécifique.
Les cinq gènes les plus importants sont également présents chez l'homme, le plus influent étant le DENND1B.
Les scientifiques ont aussi mesuré à quel point les chiens harcelaient leurs maîtres pour manger ou s'ils faisaient la fine bouche