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L'Inter venait d'aligner 7 victoires consécutives en championnat. Les Nerazzurri étaient rentrés dans la course au titre au moment où on les attendait le moins, en revenant à seulement 6 points de la Juventus Turin. Mais, en une dizaine de jours, et encore une fois de manière inattendue, les hommes entraînés par Claudio Ranieri ont marqué le pas. Une défaite 1-0 à Lecce, suivi d'un nul rocambolesque 4-4 à San Siro contre Palerme, puis la goutte d'eau qui a définitivement fait déborder le vase : le 4-0 infligé par l'AS Rome ce dimanche au Stadio Olimpico.
"La Roma ? Un non-match"
Un point pris et neuf buts encaissés en trois matches, c'est trop pour une équipe qui semblait être revenue au top. Les Intéristes se sont-ils vus trop beaux ? C'est ce que suggère à demi-mot le président milanais Massimo Moratti, dont les propos sont relayés par le Corriere dello Sport : "Le match contre la Roma n'en était pas un, donc je n'ai aucun jugement à émettre sur celui-ci. Si je devais en parler, je serais trop sévère. Il y en a qui devraient davantage mouiller le maillot. Je n'ai ni parlé avec Ranieri ni avec personne d'autre."
Moratti met la pression à ses joueurs
Comment expliquer une telle baisse de forme, alors que tout semblait aller pour le mieux (du moins au niveau des résultats) pour l'Inter ? "Contre Lecce, nous avons raté trop d'occasions", poursuit Moratti. Contre Palerme, nous avions déjà gagné (Fabrizio Miccoli a égalisé dans les arrêts de jeu), et la défaite contre la Roma est la plus préoccupante. Si je savais pourquoi l'équipe avait calé de manière aussi spectaculaire, on n'aurait pas assisté à de telles prestations. Maintenant, il faut trouver des solutions, et vite."
Le huitième de finale de C1 contre l'OM approche à grands pas, et l'Inter n'a jamais semblé aussi friable depuis que Ranieri a remplacé Gian Piero Gasperini en début de saison. Des motifs d'espoir pour les Phocéens.