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Le marché de l'art a crû en 2018 au niveau mondial (+4%), pour la troisième année consécutive, atteignant un record absolu depuis 1945 avec 539.000 lots vendus, malgré un ralentissement au second semestre, a annoncé lundi Artprice, leader des banques de données sur la cotation et les indices de l'art.
Cette étude annuelle, communiquée en exclusivité à l'AFP, est réalisée sur les ventes aux enchères publiques (frais acheteurs inclus) enregistrées par Artprice et son partenaire chinois Artron. Elles incluent les peintures, sculptures, dessins, photographies, estampes, vidéos, installations, tapisseries, à l'exclusion des antiquités, biens culturels anonymes et mobilier.
Le produit global des ventes a atteint en 2018 15,5 milliards de dollars (+4%). La croissance repose sur le marché occidental (+12%) porté lui-même par les Etats-Unis (+18%).
Le Brexit ne paraît pas avoir d'impact au Royaume-Uni (+12%). L'Italie (+17%) et le Japon (+31%) s'en tirent bien tandis que la France (-10%) "a indéniablement manqué de belles pièces", selon Artprice.
Le marché chinois (-12%) autour de ses quatre pôles --Pékin, Hong Kong, Shanghai et Canton -- poursuit sa restructuration, les maisons de ventes s'attachant à réduire leur taux d'invendus, qui a été encore de 54%.
Selon Artprice, si "les acheteurs en Occident se sont montrés extrêmement confiants au 1er semestre, ils étaient beaucoup plus exigeants dès les premières ventes d'automne".
Globalement, indique Artprice, le marché affiche un taux d'invendus de 30% à 35%, "le juste chiffre", selon Thierry Ehrmann, fondateur d'Artprice, mais le second semestre a été marqué par un taux d'invendus inhabituellement élevé sur le marché haut de gamme.
"Le ralentissement sur le second semestre (-7,4% à l'Ouest et -15,6% en Chine), est contrebalancé par de nouveaux sommets, hautement symboliques, qui prouvent que les acheteurs n'ont en aucun cas perdu confiance mais se concentrent sur les plus belles pièces", selon le rapport.
Cette étude annuelle, communiquée en exclusivité à l'AFP, est réalisée sur les ventes aux enchères publiques (frais acheteurs inclus) enregistrées par Artprice et son partenaire chinois Artron. Elles incluent les peintures, sculptures, dessins, photographies, estampes, vidéos, installations, tapisseries, à l'exclusion des antiquités, biens culturels anonymes et mobilier.
Le produit global des ventes a atteint en 2018 15,5 milliards de dollars (+4%). La croissance repose sur le marché occidental (+12%) porté lui-même par les Etats-Unis (+18%).
Le Brexit ne paraît pas avoir d'impact au Royaume-Uni (+12%). L'Italie (+17%) et le Japon (+31%) s'en tirent bien tandis que la France (-10%) "a indéniablement manqué de belles pièces", selon Artprice.
Le marché chinois (-12%) autour de ses quatre pôles --Pékin, Hong Kong, Shanghai et Canton -- poursuit sa restructuration, les maisons de ventes s'attachant à réduire leur taux d'invendus, qui a été encore de 54%.
Selon Artprice, si "les acheteurs en Occident se sont montrés extrêmement confiants au 1er semestre, ils étaient beaucoup plus exigeants dès les premières ventes d'automne".
Globalement, indique Artprice, le marché affiche un taux d'invendus de 30% à 35%, "le juste chiffre", selon Thierry Ehrmann, fondateur d'Artprice, mais le second semestre a été marqué par un taux d'invendus inhabituellement élevé sur le marché haut de gamme.
"Le ralentissement sur le second semestre (-7,4% à l'Ouest et -15,6% en Chine), est contrebalancé par de nouveaux sommets, hautement symboliques, qui prouvent que les acheteurs n'ont en aucun cas perdu confiance mais se concentrent sur les plus belles pièces", selon le rapport.