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D’après leurs découvertes, les femmes ayant moins de vitamine D au début de leur grossesse augmentaient les risques d’avoir un enfant souffrant de troubles de l’attention d’environ 34%. L’étude s’est penchée sur le cas de 1.067 enfants nés entre 1998 et 1999, diagnostiqués du trouble de l’attention en Finlande, et le même nombre de résultats contrôlés. Les données ont été collectées avant les recommandations actuelles en Finlande sur les niveaux de vitamines D recommandés durant la grossesse, de 10 microgrammes par jour.
Cependant, selon le professeur Andre Sourander, le problème est encore global. « Cette étude montre qu’un faible taux de vitamine D durant la grossesse est lié aux troubles de l’attention chez les enfants, et il s’agit d’une des maladies chroniques les plus répandues », explique-t-il.