Autres articles
-
Contre l'obésité infantile, informer les parents ne suffit pas
-
Le réchauffement climatique associé à une consommation accrue de boissons sucrées et de glaces aux Etats-Unis
-
Des chercheurs reconstituent l'arbre généalogique de météorites
-
L'OMS ajoute la nouvelle génération d'anti-obésité à sa liste de médicaments essentiels
-
Un "astronaute" escroque une octogénaire de près de 6.000 euros
Selon des chercheurs de l'université de Washington, réduire son apport calorique quotidien permettrait de vivre plus longtemps et de vieillir en bonne santé.
Le Pr Luigi Fontana et ses collègues de l'École de médecine de l'université de Washington sont en effet parvenus à prolonger l'espérance de vie et la bonne santé de souris en réduisant simplement leur apport calorique de 10 à 15%. Ils ont ensuite constaté que 30% des rongeurs vivaient plus longtemps et mouraient sans développer de maladies généralement liées à l'âge comme le cancer, les maladies cardiovasculaires ou encore les problèmes cognitifs. A l'inverse, ils expliquent qu'une alimentation abondante pourrait jouer en notre défaveur : "Notre espérance de vie pourrait également diminuer, étant donné que des milliers d'entre nous développent des maladies liées à une mauvaise alimentation pouvant être évitées, notamment le diabète de type 2", note le Pr Luigi Fontana. D'autres recherches pourraient permettre de mieux expliquer ce processus et d'aider les personnes âgées à rester en bonne santé, plus longtemps.
Le Pr Luigi Fontana et ses collègues de l'École de médecine de l'université de Washington sont en effet parvenus à prolonger l'espérance de vie et la bonne santé de souris en réduisant simplement leur apport calorique de 10 à 15%. Ils ont ensuite constaté que 30% des rongeurs vivaient plus longtemps et mouraient sans développer de maladies généralement liées à l'âge comme le cancer, les maladies cardiovasculaires ou encore les problèmes cognitifs. A l'inverse, ils expliquent qu'une alimentation abondante pourrait jouer en notre défaveur : "Notre espérance de vie pourrait également diminuer, étant donné que des milliers d'entre nous développent des maladies liées à une mauvaise alimentation pouvant être évitées, notamment le diabète de type 2", note le Pr Luigi Fontana. D'autres recherches pourraient permettre de mieux expliquer ce processus et d'aider les personnes âgées à rester en bonne santé, plus longtemps.