Autres articles
-
Plus d'enfants morts à cause de lois plus permissives sur les armes aux Etats-Unis
-
Les manchots empereurs menacés "plus vite que prévu" par le réchauffement climatique
-
Une planète géante orbitant autour d'une étoile naine intrigue les astronomes
-
Plus d'un quart des enfants sud-africains de moins de cinq ans souffrent de malnutrition chronique
-
Voitures électriques : Les marques allemandes conservent la confiance des acheteurs à l’étranger
Malgré les réticences de son père qui finira par l’initier au tagnaouite tant le jeune Soudani avait ça dans le sang, Allal sera proclamé maâlem à l’âge de 18 ans. Descendant d’une lignée de Gnaoua, d’abord par ses grands-parents, M’Barkou et Barkatou, arrivés du lointain Soudan, au terme d’un douloureux périple, comme esclaves, à Essaouira, nantis des rites et canons de «tagnaouite», Allal Soudani suivra finalement les enseignements rigoureux et méthodiques de son père qui le mèneront à fréquenter d’autres écoles, comme celles de Boubker Guinea, d’Ahmed Al Haddad et de Belkheir.