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Malgré les réticences de son père qui finira par l’initier au tagnaouite tant le jeune Soudani avait ça dans le sang, Allal sera proclamé maâlem à l’âge de 18 ans. Descendant d’une lignée de Gnaoua, d’abord par ses grands-parents, M’Barkou et Barkatou, arrivés du lointain Soudan, au terme d’un douloureux périple, comme esclaves, à Essaouira, nantis des rites et canons de «tagnaouite», Allal Soudani suivra finalement les enseignements rigoureux et méthodiques de son père qui le mèneront à fréquenter d’autres écoles, comme celles de Boubker Guinea, d’Ahmed Al Haddad et de Belkheir.