Autres articles
-
En marchant, les humains bougent plus que tous les animaux sauvages terrestres
-
L'Inde expérimente l'ensemencement des nuages à Delhi pour lutter contre la pollution
-
Face à la Grande Armée de Napoléon, les Russes et des maladies insoupçonnées
-
Dans les villages du Bangladesh, le retour de la grande peur des serpents
-
Santé cardiovasculaire : Les bienfaits des produits végétaux dépendent de leur niveau de transformation
Malgré les réticences de son père qui finira par l’initier au tagnaouite tant le jeune Soudani avait ça dans le sang, Allal sera proclamé maâlem à l’âge de 18 ans. Descendant d’une lignée de Gnaoua, d’abord par ses grands-parents, M’Barkou et Barkatou, arrivés du lointain Soudan, au terme d’un douloureux périple, comme esclaves, à Essaouira, nantis des rites et canons de «tagnaouite», Allal Soudani suivra finalement les enseignements rigoureux et méthodiques de son père qui le mèneront à fréquenter d’autres écoles, comme celles de Boubker Guinea, d’Ahmed Al Haddad et de Belkheir.








En marchant, les humains bougent plus que tous les animaux sauvages terrestres