Des camions appartenant à des commerçants sahraouis des camps de Tindouf ont été saisis par la gendarmerie algérienne à la frontière sud, non loin de Tindouf.
Ces camions qui transportaient des marchandises, provenant de différentes villes du nord algérien et destinées à alimenter les magasins des camps de Tindouf ont été bloqués par les gendarmes algériens, malgré le fait qu’ils avaient les autorisations établies par les prétendues autorités sahraouies et que leurs propriétaires étaient porteurs de cartes de commerçants établies par ces mêmes pseudo-autorités.
Cette opération a provoqué l’ire dans les camps de Tindouf où des Sahraouis se sont rassemblés à Rabouni, pour demander l’intervention du Polisario auprès des autorités de leur parrain algérien pour que leurs marchandises leur soient restituées, d’autant plus que ces marchandises n’avaient rien d’illicite et qu’elles ont été importées conformément à l’accord conclu entre les commerçants sahraouis et les autorités algériennes, lequel accord a été signé par les deux parties, le 28 novembre dernier dans l’objectif de règlementer la circulation des biens entre les villes algériennes et les camps de Tindouf.
Ces camions qui transportaient des marchandises, provenant de différentes villes du nord algérien et destinées à alimenter les magasins des camps de Tindouf ont été bloqués par les gendarmes algériens, malgré le fait qu’ils avaient les autorisations établies par les prétendues autorités sahraouies et que leurs propriétaires étaient porteurs de cartes de commerçants établies par ces mêmes pseudo-autorités.
Cette opération a provoqué l’ire dans les camps de Tindouf où des Sahraouis se sont rassemblés à Rabouni, pour demander l’intervention du Polisario auprès des autorités de leur parrain algérien pour que leurs marchandises leur soient restituées, d’autant plus que ces marchandises n’avaient rien d’illicite et qu’elles ont été importées conformément à l’accord conclu entre les commerçants sahraouis et les autorités algériennes, lequel accord a été signé par les deux parties, le 28 novembre dernier dans l’objectif de règlementer la circulation des biens entre les villes algériennes et les camps de Tindouf.