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Les visiteurs chinois et américains sont les plus dépensiers s'agissant du shopping à Paris et en Ile-de-France, la destination perdant cependant du terrain face à Londres ou Milan, selon une étude jeudi de la Chambre de commerce et de la région.
A Paris et en Ile-de-France, quelque 26 millions de visiteurs -dont près de 60% de touristes internationaux- effectuent chaque année des achats de "biens durables", soit des produits qui ne sont pas consommés sur place, comme un sac à main, un vêtement, un parfum ou un simple souvenir.
Le shopping arrive en cinquième position s'agissant des sources de motivation des visiteurs étrangers, derrière les visites de monuments et musées, les promenades en ville, les parcs d'attraction, et les parcs et jardins.
La gastronomie française se classe sixième, selon cette étude compilée par le Comité régional du tourisme (CRT) d'Ile-de-France et le centre régional d'observation du commerce, de l'industrie et des services (Crocis) de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris.
Deux types de shopping cohabitent: le "traditionnel", passant par les grands magasins ou les Champs Elysées, et l'"expérientiel", qui "se pratique au gré des balades" dans les quartiers du Marais, du canal Saint-Martin ou aux puces de Saint-Ouen.
Le premier type de shopping est pratiqué par les "primo-visiteurs", "essentiellement les clientèles lointaines ou à fort pouvoir d'achat qui recherchent avant tout les marques de luxe". Le shopping "expérientiel" est plébiscité par des touristes connaissant déjà la destination et recherchant petits créateurs, boutiques vintage et concept-stores, est-il spécifié.
"En 2018, les retombées économiques liées à l'achat de biens durables dans la région sont estimées à plus de 3 milliards d'euros, soit 15% de la consommation touristique totale (22 milliards d'euros)", le restant étant dédié à l'hébergement, la restauration, les visites ou le transport.
Les clientèles internationales ont généré à elles seules environ 2 milliards d'euros pour le shopping à Paris et en Ile-de-France: les touristes chinois et américains cumulent plus de 500 millions d'euros, avec respectivement 265 et 246 millions de dépenses, suivis des Espagnols (85 millions) et des Japonais (78 millions).
Cependant, "le tourisme de shopping à Paris-Ile-de-France perd du terrain face à des destinations concurrentes telles que Londres, Milan, New-York, Dubaï ou encore Tokyo", note l'étude.
En France, le seuil de détaxe touristique est fixé à 175 euros et sera abaissé à 100 euros en 2021. Un "niveau élevé" souligne l'étude, d'autant que certains pays comme l'Espagne ou l'Allemagne l'ont "totalement supprimé" et que d'autres "utilisent la détaxe touristique comme un outil concurrentiel afin d'être plus attractifs".
A Paris et en Ile-de-France, quelque 26 millions de visiteurs -dont près de 60% de touristes internationaux- effectuent chaque année des achats de "biens durables", soit des produits qui ne sont pas consommés sur place, comme un sac à main, un vêtement, un parfum ou un simple souvenir.
Le shopping arrive en cinquième position s'agissant des sources de motivation des visiteurs étrangers, derrière les visites de monuments et musées, les promenades en ville, les parcs d'attraction, et les parcs et jardins.
La gastronomie française se classe sixième, selon cette étude compilée par le Comité régional du tourisme (CRT) d'Ile-de-France et le centre régional d'observation du commerce, de l'industrie et des services (Crocis) de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris.
Deux types de shopping cohabitent: le "traditionnel", passant par les grands magasins ou les Champs Elysées, et l'"expérientiel", qui "se pratique au gré des balades" dans les quartiers du Marais, du canal Saint-Martin ou aux puces de Saint-Ouen.
Le premier type de shopping est pratiqué par les "primo-visiteurs", "essentiellement les clientèles lointaines ou à fort pouvoir d'achat qui recherchent avant tout les marques de luxe". Le shopping "expérientiel" est plébiscité par des touristes connaissant déjà la destination et recherchant petits créateurs, boutiques vintage et concept-stores, est-il spécifié.
"En 2018, les retombées économiques liées à l'achat de biens durables dans la région sont estimées à plus de 3 milliards d'euros, soit 15% de la consommation touristique totale (22 milliards d'euros)", le restant étant dédié à l'hébergement, la restauration, les visites ou le transport.
Les clientèles internationales ont généré à elles seules environ 2 milliards d'euros pour le shopping à Paris et en Ile-de-France: les touristes chinois et américains cumulent plus de 500 millions d'euros, avec respectivement 265 et 246 millions de dépenses, suivis des Espagnols (85 millions) et des Japonais (78 millions).
Cependant, "le tourisme de shopping à Paris-Ile-de-France perd du terrain face à des destinations concurrentes telles que Londres, Milan, New-York, Dubaï ou encore Tokyo", note l'étude.
En France, le seuil de détaxe touristique est fixé à 175 euros et sera abaissé à 100 euros en 2021. Un "niveau élevé" souligne l'étude, d'autant que certains pays comme l'Espagne ou l'Allemagne l'ont "totalement supprimé" et que d'autres "utilisent la détaxe touristique comme un outil concurrentiel afin d'être plus attractifs".